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Les inégalités

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Par   •  27 Février 2022  •  Compte rendu  •  1 656 Mots (7 Pages)  •  223 Vues

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Academics papers: Inégalités

 

En France et comme dans tous les pays il existe des inégalités économiques. Cela signifie qu’il y a des différences entre individus ou un groupe social portant sur des atouts ou inconvénients qui fondent une hiérarchie entre ces individus ou ces groupes. Cependant, pour limités ces inégalités la France utilise un système de redistribution. Cela consiste à prélever une certaine somme chez les ménages puis à redistribuer au service de l’État.

A travers, ce dossier nous nous demanderons si la politique de redistribution (monétaire) française engendre-t-elle des inégalités ?

Dans un premier temps, nous découvrirons la politique de redistribution et ces facteurs. Puis dans un second temps, nous analyserons les répercussions du système économique.

Au fil de l’histoire, la France a fait le choix d’un système solidaire de redistribution des richesses favorisant la meilleure équité entre les citoyens. Le système de redistribution correspond à l’État-providence qui est essentiellement organisé à partir des ménages. Ce système a pour but de réduire les inégalités entre les individus de classe sociale différentes. En effet, tous les ménages ne perçoivent pas les mêmes revenues et le montant de prélèvement est différents selon les situations des ménages. Ce système de redistribution est basé sur l’analyse keynésienne. Grace à l’argent prélevés l’État de providence produit des services tels que : la santé pour les hôpitaux, l’éducation avec les écoles (…). Les ménages n’ont donc pas à payer les services que l’État propose qui ne serais pas possible sans ce système. L’État sois autrement dit « le service public » vise à réduire les inégalités. Tous les individus y ont droit quel que soit leur revenue ou leurs classe sociale. Les analyses de la redistribution partent des « revenus primaires » des ménages, à savoir leurs revenus avant un quelconque prélèvement obligatoire. S’agissant des salaires, le revenu primaire correspond au salaire « brut », c’est-à-dire cotisations sociales patronales comprises.

        Cependant, pour les revenus primaires de la majorité des retraités sont relativement faibles quant à ceux des actifs font l’objet de prélèvements très importants (notamment les cotisations de retraite) afin de pouvoir financer la pension qui sera reversées aux retraités.

Pour générer l’argent qui va être réutiliser le rôle de la fiscalité entre en jeux, l’État utilise plusieurs taxes pour prélever la somme d’argent comme la progressivité de l’impôt sur le revenu, ou encore l’ISF. Il y a également le rôle de la protection sociale et de la redistribution. C’est-à-dire que les ménages qui vont voir leurs fonds saisis sont des ménages qui perçoivent un salaire bien supérieur au montant demander. De plus, nous cotisons pour la redistribution par les services collectifs. Effectivement la France produit des services de l’État qui sont 100% gratuit notamment l’accès à l’école pour tous les Français et étrangers résidant avec une carte de visite française. Les dépenses concernant l’éducation ainsi que la santé et les logements sociaux font partie de trois grands domaines de réductions des inégalités. D’après l’INSEE c’est l’outil le plus efficace pour réduire les inégalités de revenue en France, nous notons que près de 70% de réductions des inégalités est grâce aux états de providence.

A travers ce graphique, nous analyserons la contribution à la réduction des inégalités en 2018.

[pic 1]

Afin de réduire un maximum d’inégalité la France utilise le programme de redistribution qui est prélevés chez les ménages éligible et reversé au plus nécessiteux. De ce faite, la France à réussi à réduire ces inégalités au niveau des impôts de 29,9% en 2018. Pour les cotisations et contributions social une baisse de 6,7%. Les prestations familiales ont réduit leur taux 22,4%. Les aides au logement de 15,6%. Et pour finir le minima sociaux et prime d’activité a connu une réduction 25,4%.

Nous connaissons trois types de prélèvement progressif comme l’impôt sur le revenu. Le prélèvement proportionnel tels que la Tva, ou encore le prélèvement forfaitaire comme par exemple la taxe audiovisuelle.

Malgré, les avantages de la politique de redistribution française ont recensent de nombreuses inégalités.

Selon « Pierre Cahuc, économiste, les Echos » la politique de redistribution ne traite pas les inégalités de manière structurelle, elle ne fait que les compenser. En effet, les pays de l’OCDE connaissent une hausse d’inégalités des revenues avant taxes et transfert. De plus, la France est le pays avec le taux de pauvreté avant impôts et transferts le plus élevée.

La fiscalité française qui dans son ensemble opère assez bien pour les plus nécessiteux engendre de nombreuses inégalités pour les plus riches. Étant donné que certains actifs ont une prédominance financièrement ils ne devront pas reversés le même montant qu’une personne en situation précaire tels qu’un emploi en cdd, ou encore une personne célibataire en charge d’enfants.

Les inégalités de revenus primaires apparaissent donc très fortes mais sont corrigées par le système de retraite qui assure une redistribution entre actifs et retraités. L’ampleur de ces formes d’inégalité et de redistribution peut fortement varier d’un pays à l’autre du seul fait de leur structure démographique

Les inégalités d’espérance de vie qui ne cessent de s’agrandir malgré des investissements importants en termes de santé. Évidemment selon l’emploi des actifs les répercutions seront différentes. Un ouvrier n’aura pas la même espérance de vie qu’un chef d’entreprise, tous les actifs sont directement touchés par les inégalités.

En parallèle de toute ces inégalités, la redistribution vise à redistribuer des aides sociales pour tendre vers une égalité ainsi qu’une uniformisation des situations qui se caractérise majoritairement par une égalité de revenus. En effet, depuis le 2 janvier 1970 une loi sur le salaire minimum national interprofessionnel garanti a été instauré dans le but donner une équité aux salariés. De plus un aménagement de cette loi a été apporter le 11 février 1970 afin une fois de plus de limiter les inégalités car de nombreux postes ou expériences méritait une réévaluation salariale. L’écart de revenu entre les 10 % les plus riches et les 10 % les plus pauvres, qui s’élève initialement à 7, est ramené à 2,5 grâce à ce système.

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