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Le rapport, présenté jeudi au conseil d'assurance médicale " très haute fréquence de l'IRM des membres inférieurs " en France

Rapport de stage : Le rapport, présenté jeudi au conseil d'assurance médicale " très haute fréquence de l'IRM des membres inférieurs " en France. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Juin 2014  •  Rapport de stage  •  334 Mots (2 Pages)  •  677 Vues

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Un rapport remis jeudi à l’Assurance maladie pointe  « la fréquence très élevée des actes d’IRM des membres inférieurs » en France. - AFP PHOTO PHILIPPE HUGUEN1 / 1

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+ DOCUMENT - Limiter le recours aux IRM, diminuer la durée des séjours en maternité et mieux dépister le cancer du sein, voici des pistes d’économies proposées par un rapport que le conseil d’administration de l’assurance-maladie examinera ce jeudi.

Limiter le recours aux IRM, diminuer la durée des séjours en maternité, mieux dépister le cancer du sein... l’assurance-maladie détaille, dans un rapport examiné ce jeudi par son conseil d’administration, des pistes qui visent à améliorer la qualité des soins tout en réduisant les coûts.

Dans ce rapport (voir document ci-dessous), l’assurance-maladie pointe « la fréquence très élevée des actes d’IRM des membres inférieurs », ce qui « pose la question de la pertinence de leurs indications ». L’utilisation de l’IRM pour l’exploration des lésions des membres est d’ailleurs « très supérieure » en France par rapport aux pays européens et nord-américains.

Sur les 3,3 millions d’IRM réalisées en 2013, plus d’un million concernent des analyses du membre inférieur. Et dans plus d’un cas sur deux (52% des bénéficiaires), elle n’a pas été précédée d’une radiographie, comme le recommande la Haute autorité de santé (HAS). « On peut estimer, en première approche, qu’une réduction de 15% du nombre d’IRM des membres inférieurs pourrait être obtenue sans perte de chance pour les patients », estime l’Assurance maladie. Par ailleurs, il existe selon elle, « un potentiel de réduction significative de la durée moyenne de séjour et corrélativement du nombre de lits de maternité ».

Autre piste d’économies à l’étude : réduire la durée moyenne des séjours en maternité (4,2 jours en moyenne dans l’Hexagone) qui reste élevée par rapport aux autres pays. Le programme PRADO lancé en 2010, qui permet aux mères de bénéficier d’un accompagnement à domicile à leur sortie, a été progressivement étendu et devrait bénéficier en 2014 à 210.000 femmes. « La mise en place de ce suivi organisé permet d’accompagner dans de bonnes conditions la réduction des durées de séjour ».

Dépista

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