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Introduction à L'histoire économique Et Sociale

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Par   •  11 Janvier 2013  •  7 302 Mots (30 Pages)  •  961 Vues

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Histoire économique et sociale

Introduction

L’économie n’a pas toujours eu la place quel a maintenant. Il faut éviter l’économisme, c’est l’aptitude intellectuel qui consiste a appliqué sur les sociétés privées une rationalité actuelle.

En 1976, Adam Smith a un penchant pour l’échangisme, il doit échanger quelque chose spécialisation qualité net augmentation du rendement fixe une règle d’échange (troc)

Pour éviter la double coïncidence des besoins, Smith instaure la monnaie, qui devint la monnaie spécifique c’est l’échange de monnaie. C’est la fable de l’échange ou la parabole de l’échange. Cela ne s’est pas passer comme ça, Smith aimait les robinsonnades. La principale cause de mortalité, c’est les problèmes entre les hommes (les tribus). Les rapports de violence ont animé la vie économique.

Le contrat est quelque chose de ressent et la révolution industriel a des valeurs (égalité, fraternité). Le « troc » n’a pas réellement existé dans l’histoire. C’est l’échange d’un bien qui intéresse les 2 échangeurs (quasi-impossible).

En 1983, C. Levi Strauss, « Le regard éloigné ». Une mise à distance sociétale. Echanger c’est au cœur de l’activité économique mais échanger c’est avant tout juger, évaluer et qualifier les objets. Les compétences pour un tel travail sont le produit de la société. Il fut un temps où l’économie avait une place mineur, l’idée de la rationalité économique n’avait pas de sens. Le profit n’était pas une idée universelle.

Fernand Braudel et Lucien Febvre (école des annales) se renseigner.

Qu’est-ce que l’économie ?

L’économie vient du latin :

Eco, OIKOS qui veut dire maison

Nomie, NOMOS qui veut dire les règles

Au pare-avant cela voulait dire, gérer le domaine agricole ou la gestion d’administration des domaines.

Xénophon (430 av J.C-354 av J.C) « L’économique »

Il instaure un dialogue entre 2 personnes : Critobule (Athènes) et Socrate.

Critobule est un jeune homme propriétaire d’un terrain agricole, il va voir Socrate et dit « je n’ai pas assez de ressource pour satisfaire mes besoins ». Socrate lui répond qu’il doit faire gérer son patrimoine. La réponse de Socrate est sans appel, pour lui la véritable richesse se trouve dans la politique et dans le capital relationnel.

Dans l’Antiquité grecque, les œuvres des auteurs sont à forte coloration éthique et politique. Véritable mépris pour les activités productives. « Le métier d’artisans ruine les corps de ceux qui les exercent, les corps étant maudit, les âmes deviennent plus lâches. Les métiers ne laissent aucun loisirs pour s’occuper des amis et de la cité ».

Il faut attendre le 17ème siècle pour qu’une réflexion économique surgisse. Le mépris des grecs pour l’économie va se diffuser pendant tout le Moyen-Age (car esclavage). Si les grecques ont cette attitude vis-à-vis de l’économie, à cette Athènes comporte 500 000 habitants mais 30 000 citoyens.

L’économie est la science qui étudie les relations entre les besoins et les ressources dans une société.

Cette approche de l’économie est dite suspensive, c’est-à-dire qu’on ne fait aucune hypothèse sur les besoins ni sur les ressources.

Karl Polanyi, (1944) «  La grande transformation »

« L’économie étudie les relations entre l’homme et son environnement dans le but de fournir les moyens nécessaires à ces besoins ».

Au 19ème siècle, c’est une approche formaliste de l’économie. Les besoins de l’homme serait illimités et les ressources limités ; c’est la rareté.

En fixant ces hypothèses, l’origine même de l’économie devient un combat contre la rareté, science des choix efficace.

Lines Robbins, (1947)

« L’économie est une science qui étudie le comportement humains et tant que relation entre les fins et les moyens rare à usage alternatif ».

Aprioris, pour résoudre le problème économique il y a 2 possibilités :

On cherche toujours à tout prix à augmenter les ressources (croissance économique)

C’est chercher à tout prix à limité ou tempéré les besoins

Dans l’histoire de l’humanité, principalement les hommes ont cherché à tempéré leurs besoins de manière directe et indirecte. Cela fait que 2 siècles que les hommes cherchent la croissance économique (l’Occident).

Pour limiter les besoins dans l’histoire, il y a 2 ressorts :

Les famines ou les mortalités infantiles (1709)

Dans toutes les sociétés, les religions sont fondamentales et diffusent un modèle de vie inégalitaire qui pousse au partage, à la charité qui va fortement limiter les besoins.

A la renaissance (16ème siècle), les découvertes et les disponibilités des réserves vont pousser au libre arbitre. Quand il n’est plus possible de limité les besoins alors on rentre dans une société de croissance.

Au 19ème siècle, c’est le problème de la rareté, il faut lutter contre celle-ci.

Les sociétés primitives, les 1ère sociétés d’abondance ?

Toutes sociétés a connu une économie, même si il n’y avait pas de marché ou de monnaie. On considère souvent que les premières sociétés primitives étaient des économies de la misère. Les hommes parviendraient tout juste à subvenir à leur subsistance. La production d’un sur plus qui mettrait le groupe en difficulté. (Approche = économisme).

Marshall Salhins, (1976) «  Age de pierre, âge d’abondance ».

-8000 -3400

PALEOLITHIQUE

Economie de prélèvement Economie de production

Au début, il y avait 4 à 6 000 000 d’hommes et en -3400 il y en avait 40 000 000.

Quelques dates :

-2 ,6

...

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