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Contrôle De Gestion Et Pilotage De La Performance

Mémoire : Contrôle De Gestion Et Pilotage De La Performance. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Décembre 2013  •  1 818 Mots (8 Pages)  •  3 182 Vues

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Présentation de(s) auteur(s) :

Françoise Giraud : Françoise est un docteur en science de gestion ainsi qu’une enseignante à l’ESCP (Ecole Sup de Commerce à Paris).

Son expérience au sein des cabinets d’audit et de conseil d’entreprise lui a confié un cumul de savoir qui le transmet par son rôle aux étudiants et public à travers des programmes de formation.

Ses publications ont ciblé particulièrement le rôle du système de mesure de la performance lié à l’évaluation des managers au sein des entreprises et des organisations.

Olivier Saulpic : Olivier est un professeur de contrôle de gestion et d’économie managériale au département contrôle et pilotage des organisations à l’ESCP.

Diplômé de l’école centrale Paris, ses premières expériences étaient comment consultant en organisation industrielle et après comme directeur industriel d’une division au sein d’une entreprise.

Les recherches empiriques entamées par Saulpic reposent sur les outils du pilotage de la performance au niveau du cadre sanitaire. Un autre stade de la recherche traite la relation entre la performance et motivation sur le parallèle entre management et sport.

Présentation de l’ouvrage :

Le livre est destiné à décortiquer le processus du contrôle de gestion ainsi que ses principales composantes et l’ensemble des outils sur lequel il repose.

Le contrôle de gestion est une procédure à caractère managérial qui s’adresse aux hauts responsables qui s’occupent du pilotage de la performance de leurs entreprises.

L’ouvrage aussi permet d’élucider d’une façon simple et approfondie la notion du contrôle de gestion par les étudiants, qui seront dans la mesure de maitriser ses outils.

Gérard Naulleau : Gérard Naulleau est professeur au département contrôle et pilotage des organisations. Diplômé de l’ESC Nantes et du Programme Doctoral HEC et titulaire d’un Doctorat de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales.

Il a travaillé dans le conseil en systèmes d’information avant de rejoindre le département contrôle de gestion d'ESCP Europe en y développant une expertise en contrôle de gestion des activités de service et une expertise sur le management des collaborations inter-organisationnelles.

Marie – Helene Delmond : Marie – Helene est directrice académique de Mastères Spécialisés en Gestion Informatique et professeur associé de Systèmes d'Information à HEC Paris dont elle est une lauréate en option du contrôle de gestion.

Elle a travaillé en tant que spécialiste en Gestion Informatique et directrice au sein de Sociétés de Conseil en Management.

Parmi ses ouvrages : « Coûts et Décisions, Coûts et Décisions, L'Art du contrôle de gestion: enjeux et pratiques ,Tableaux de bord pour managers. »

Pierre – Laurent Bescos : Pierre est un Docteur en gestion, diplômé de l'Institut d'Études politiques de Paris. Professeur-assistant à l'École supérieure de commerce de Paris (en 1990).

Livres dont Pierre-Laurent Bescos est l'auteur : Contrôle de gestion et management, Manager cherche information utile désespérément.

Eléments de synthèse du 3ème chapitre « Définir et mesurer la performance des entités de l’organisation »

Dans ce chapitre, on traite le concept de pilotage de la performance, puisque l’auteur a mis en synergie l’ensemble des parties engagées avec leurs superviseurs ou le directoire général de l’entreprise en évoquant le genre de relation existante entre les deux camps soit au niveau central ou local.

Cette notion de performance stipule que les mesures de chaque entité doivent contribuer à l’élaboration du cadre de mesure de l’organisation en sa globalité.

Sur cela, le chapitre est morcelé en trois sections essentielles d’où la première traite les principes de la mise d’un cadre de mesure de la performance ainsi que les deux suivant se focalisent sur l’analyse des cadres mesures préétablis, sous une dimension financière et non financière.

1. les rôles de la mesure de la performance locale :

La mesure de la performance locale est dotée d’un polymorphisme de caractère puisqu’elle est destinée à plusieurs acteurs et peut être un système de référence de prise de décision.

Pilotage par les responsables des entités :

La performance locale relève du directoire lui-même en engendrant un régime d’auto-évaluation, chose permettant d’avoir un système qui rend cette notion plus palpable, ce qui attribut aussi une visibilité et une représentativité pour les dirigeants.

Pour chaque dimension de l’entreprise, une seule démarche d’élaboration de cadre de mesure de la performance est suffisante pour le définir puisque il repose sur le choix des facteurs internes de la performance (partie prenante, coût) mais aussi avoir des indicateurs simple à analyser et en étroite liaison avec les orientations stratégiques.

a. Le reporting statuaire :

C’est un établissement de rapport exigé par les institutions de lois, qui englobe des clauses sur la publication des comptes comptables. Hormis cette obligation, il sert comme un moyen de base d’information pour l’administration de l’entreprise sur la performance globale de toutes les entités.

Comme l’élaboration de telles documents ou états se fait par les juristes de l’organisation, il est de leur rôle de les publier impérativement afin d’alimenter les autres systèmes d’information des filiales sous l’égide de l’entreprise mère.

Cependant, si des entités nouvellement acquise adhèrent au réseau d’information de la maison mère, elle reste juridiquement indépendante.

La rédaction de l’ensemble des documents comptables produits par les différents départements sous un système de normalisation comptable certes est une obligation légale, mais elle peut être un caractère de mesure hors le principe de la consolidation des comptes.

b. La mise sous tension des responsables d’entités :

Sur cet élément, il est préjudiciaux d’évoquer la notion des rapports de gestion qui relève du contrôle de gestion, qui recouvre deux éléments à traiter : une mise en tension des managers et un référentiel d’information décentralisé sur les fonctions de l’organisation.

Dans une mesure de contribution,

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