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La mondialisation

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Par   •  17 Février 2020  •  Cours  •  404 Mots (2 Pages)  •  390 Vues

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  1. La mondialisation
  2. La spécialisation du travail

Il est nécessaire dans une structure de spécialiser dès que les tâches se répètent et qu’une seule personne ne suffit pas pour y faire face. La spécialisation du travail a pour corollaire sa division, sa répartition en plusieurs personnes.

La spécialisation des taches s’opère entre les individus aux seins des services et entre les services. Elle a pour traduction horizontale (spécialisation fonctionnelle) et une traduction verticale (nombre de niveau hiérarchique)

[pic 1]                                               

  1.       La spécialisation horizontale

Elle se justifie par des considérations économiques. Elle est ainsi synonyme de productivité. Elle a des avantages et des inconvénients :

 Avantages

Inconvénients

Permet la répétitivité des tâches, la maitrise

Provoque une monotonie

Engendre les économies de productivité d’échelles

Réduit la polyvalence

Facilite la formation du personnel

Limite la flexibilité interne

Autorise des recrutements de haut niveau pour des fonctions très spécialisés

Renforce la dépendance à l’égard de quelques spécialistes

 

En pratique, dans une entreprise, la spécialisation se combine. La tendance actuelle consiste à privilégier une spécialisation aval en fonction des clients ou des marchés de façon à pouvoir s’adapter à leur évolution.

Spécialisation

Illustration

Par formation, selon la nature des tâches

Comptabilité, production, finance etc. au sein d’une même entreprise

Par produit, activité

Textile/alimentaire ; téléviseur/lecteur dvd

Par zone géographique

Europe/Afrique Thiès/zig

Par technologie

Analogie numérique/ digital tactile

2) la spécialisation verticale 

Sur un plan arithmétique, à effectif constant, le nombre de niveaux hiérarchiques d’une organisation va dépendre de l’éventail de subordinations de chaque chef c’est-à-dire du nombre de collaborateurs que chacun supervise.

Sur un plan managérial et le nombre de niveau hiérarchique vont dépendre :

  • De l’autonomie donnée au collaborateur. Plus le supérieur délégué des responsabilités, plus l’éventail de subordination peut être élevé. Se faisant le supérieur fait un control à postériori et non à priori
  • De la nature des tâches. Leurs caractères répétitifs continus, diminuent les occasions  de relation entre le niveau N et N+1. Il autorise aussi l’éventail plus large. C’est le cas dans les services de productions (usine)
  • Du niveau hiérarchique. On observe en général un éventail plus large à la base de l’organigramme qu’au niveau de la direction (top management). La complexité des problèmes, leurs caractères non répétitifs limitent l’éventail de subordination des directeurs

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