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Vivre ensemble !

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Par   •  17 Novembre 2020  •  Synthèse  •  1 272 Mots (6 Pages)  •  593 Vues

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Vivre ensemble!

Vivre ensemble c’est être dans un état d'harmonie, atteint par les habitants vivant dans un environnement c’est le respect et l'appréciation mutuels, mais on y trouve aussi un désir commun de paix et d'apaisement. Que représente la vie commune?  En quoi la solitude est-elle « l’essence » même de l’Homme. Grace au quatre documents du corpus nous allons pouvoir répondre à ses deux problématiques.

La capacité à être seul permet l’affirmation identitaire et permet également d’évaluer le groupe auquel l’individu appartient. Sans être lui-même, il ne peut apprécier le groupe, le couple, le parent… Dans le document 1, de François de SINGLY, Libres ensemble. L’individualisation dans la vie commune, il rapporte qu’un être oscille entre deux comportements. Un comportement où il vie en communauté soit dans sa famille soit en couple et dans ces conditions, il cherche à respecter un équilibre, mais également quand il est seul.

Il nous explique que même dans une relation parent-enfant, on retrouve le même schéma .

Le parent voulant être seul ou n’étant pas toujours disponible, l’enfant doit alors devenir autonome et faire les choses lui-même. Il apprend, sans le savoir à se socialiser, à être considérer mais également à repérer l’état de ses proches. Par la suite l’enfant demandera à être seul car il aura un besoin  identitaire . L’auteur fait aussi référence à la socialisation, qui ce traduit par le fait de faire des compromis. Il nous le décrit par le fait d’être sensible et attentif aux autres et à leurs émotions, par le fait de savoir partager son temps et son espace personnel avec les personnes avec lesquelles on vit. Ensuite il explique qu’un individu vivant en communauté, se doit d’être flexible, il doit donc respecter les divergences d’opinions.

De plus, il fait ressortir le fait que « la vie commune n’est pas, toujours incompatible avec l’individualisme ». Il va le représenter sous la forme de deux procédures qui sont censées préserver l’identité de l’individu au sein même du groupe auquel il appartient. L’une étant qu’il peux faire en sorte que les pratiques communes adhèrent au concept d’individualisme, et l’autre procédure approuve qu’il réduise ces pratiques communes pour s’adonner a des activités en solitaire.

« On est seul » est posé comme préambule, une loi à laquelle aucun individu peut échapper et cela quelle que soit la présence ou la volonté d’un entourage. Dans le document 3, de Rainer Maria RILKE, « Lettre à un jeune poète », l’écrivaine et poète écrit une lettre à son beau-frère qui traverse une crise sentimentale.

Elle lui envoie cette lettre car elle sent qu’il a besoin d’un soutient moral, néanmoins elle lui fait bien comprendre dès le début, qu’elle ni personne d’autre ne lui donnera pas la solution à son problème. Elle lui explique que l’une des plus grandes expérience de la vie est de faire face à chaque conflit, chaque désarroi. Elle suggère qu’il cherche au plus profond de lui-même. Elle met en évidence qu’il est parfois difficile de rester soi-même et de se supporter, il arrive qu’on est besoin de se raccrocher à autre chose ou à une autre personne. D’après l’auteur, l’amour est difficile, en effet quand un conflit apparaît, la nature nous ordonne de devenir égoïste et de concentrer nos forces pour ne pas « tomber » alors que ce qu’il faudrait faire c’est se laisser aller. Elle s’interroge, sur le fait de l’abandon total de soi-même. Plutôt que de se donner comme un bien désordonné, «pièce par pièce» pour seul finalité le bonheur et la joie, ne vaudrait-il pas mieux s’ordonner comme des fleurs que l’on donnerait en bouquet. C’est notamment, ce qu’elle reproche au jeune qui dans une frénésie, un enthousiasme, une impatience, vont se jeter l’un à l’autre. Ils ne remarquent pas que cet abandon désordonné reflète d’un manque de confiance mutuelle et lorsqu’ils le remarque enfin, en découle une opposition violente d'avis, de sentiments, d'intérêts, des divergence et des désaccord. Elle doute que « les jeune gens » puissent trouver le paroxysme dans une relation, tout en ayant deux mondes distinct dans une même sphère, néanmoins elle n’exclut pas le fait qu’il peuvent y parvenir, par la compréhension de leur vie, et par un développent lent.

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