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« Interactionnisme symbolique » David le Breton. Le pouvoir

Fiche de lecture : « Interactionnisme symbolique » David le Breton. Le pouvoir. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  27 Novembre 2021  •  Fiche de lecture  •  680 Mots (3 Pages)  •  467 Vues

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Compte rendu

L’auteur du livre intitulé « Interactionnisme symbolique » est David le Breton. C’ est un sociologue et anthropologue .Il est né le 26 octobre 1953 au Mans dans la Sarthe .Il a actuellement 67 ans. David le Breton a tout d’abord fait des études de psychologie pathologique à Angers et ensuite a Paris. Il obtient a diplôme d’études supérieures spécialisées partir de 1981 il commence à donner des cours dans différentes universités notamment a celle de Angers et de Bruxelles  .Il obtient son doctorat d’Etat de sociologie en 1987.A partir de 1989. Il enseigne la sociologie à l’université de Strasbourg, et à l’université de Nanterre. Ses recherches portent principalement sur les représentations du corps humain et l'analyse des comportements à risque. En outre, il a travaillé et écrit sur la douleur, le silence et le visage.

L’interactionnisme symbolique est publié en 2012. L’interactionnisme symbolique c’est un courant sociologique américain fondé sur l'idée que la société est le produit des interactions entre les individus. Dans l’extrait que l’on devait lire  il parle de la délinquance et de la déviance. La sociologie de Chicago est célèbre pour ses travaux sur la criminalité, la déviance et la délinquance juvénile. La déviance désigne les actes qui transgressent les normes et sont connus comme telle par la société ou un groupe. On va chercher à savoir qu’est ce qui conduit à la déviance ou à être perçu comme déviant ?

Pour Emile Durkheim la déviance est le résultat de l’anomie. L’anomie selon Durkheim c’est lorsque une société se retrouve avec un affaiblissement des normes au sein de la société, les individus se retrouvent perdus car il y a trop de transformations profonde dans la société. Les personnes n’ont plus de repère. Ils vont être conduit malgré eux à avoir un comportement déviant car ils sont perdus entre les normes qui n’existent plus et celles qui sont nouvelles

La déviance est le résultat d’un étiquetage pour Becker. Selon Becker la déviance n’est pas issue d’un manque de contrôle social ni d’une lacune au cours de la socialisation mais de l’étiquetage, mettre une étiquette sociale sur un individu. La déviance est due aux comportements des autres acteurs sociaux. La sanction qui va être appliqué aux déviants c’est elle qui est a l’origine de l’étiquetage, Howard Becker dit « Le déviant est celui auquel cette étiquette (l’étiquette de déviant) a été appliquée avec succès (renvoie a l’acceptation des autres l’étiquette de déviant qui est donné a quelqu’un et que l’individu lui-même accepte) »

Becker fait la différence entre transgression par un comportement d’une norme  et la sanction qui va venir identifiée cette personne comme déviant. Il y a des situations ou les comportements obéissent a la norme et qu’ils sont  néanmoins identifié comme déviant. Ces comportements sont identifiés comme déviant parce qu’il y a eu perception de comportements déviants. C’est en fonction de ces deux dimensions qu’ils vont concevoir la déviance. Il y a des situations ou la personne obéit a la norme mais puisque c’est perçue comme déviant on est en présence de déviant, mais c’est un faux déviant. Il y a des situations ou il y a transgression de la norme mais qui n’est pas perçue comme déviant, on est en présence d’une situation de déviance secrète

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