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Les accidents vasculaires cérébraux

Mémoire : Les accidents vasculaires cérébraux. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  22 Août 2019  •  Mémoire  •  1 321 Mots (6 Pages)  •  564 Vues

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Les accidents vasculaires cérébraux

L’AVC est la lésion soudaine d’une partie du cerveau par une hémorragie cérébrale ou par une ischémie cérébrale

Cet accident entraîne le plus souvent une perte de connaissance avec arrêt partiel ou total des fonctions cérébrales pouvant entraîner des séquelles sensorielles, sensitives ou motrices plus ou moins graves, plus ou moins définitives, voire la mort.

Elle est souvent provoquée par d’autres troubles : hypertension artérielle, athéromatose, rupture d’anévrysme. Elle est plus fréquente après 75 ans et peut entraîner un sentiment de détérioration du vieillard et son apathie, voire sa dépression.

Symptômes

Coma brutal ou pas de coma.

Si pas de coma :

- perte de la force et/oude la sensibilité d’un membre, d’une moitié du visage, d’une moitié du corps,

- dysarthrie ou aphasie,

- difficultés de déglutition,

- troubles de l’équilibre, de la marche,

- troubles de la vision, strabisme,

- maux de têtes.

Si coma : lessignes apparaissent au réveil, avec le plus souvent une hémiplégie, prédominant au membre supérieur ou au membre inférieur, complètement ou partiellement régressive, quelquefois définitive, complète ou incomplète (parésie).

Causes

- soit une hémorragie liée à la rupture d’une artère ou d’une artériole du cerveau,

- soit une ischémie (arrêt de l’irrigation sanguine d’un tissu) par thrombose d’une artère ou d’une artériole du cerveau liée à une maladie des artères l’athéromatose.

Traitements

Dans certains cas un traitement chirurgical peut être nécessaire. Le plus souvent, traitement médical avec kinésithérapie, rééducations en centres spécialisé, aide à domicile si besoin.

La maladie de Parkinson

Maladie neuro-dégénérative chronique atteignant le système nerveux central et entraînant des troubles moteurs d’évolution progressive.

Symptômes

- tremblement de repos, débutant souvent aux mains,

- hypertonie musculaire,

- akinésie : raréfaction des mouvements et difficulté croissante à les effectuer,

Ces symptômes entraînent une raréfaction de la mimique, des difficultés à la déglutition, une perturbation de la marche avec chutes, une dysarthrie (difficultés d’élocution), des difficultés d’écriture.

Il n’y a pas de troubles cognitifs, sauf chez certaines personnes très âgées, sans certitude que ces troubles soient liés au Parkinson.

Causes

On connaît le mécanisme de la maladie, un déficit en dopamine, amine cérébrale indispensable au bon fonctionnement des neurones.

Par contre, on n’a pas de certitude sur sa cause. Une première hypothèse incriminait les métaux lourds (plomb, mercure, cadmium) : elle est aujourd’hui abandonnée. Les pesticides augmentent dans de grandes proportions la possibilité de contracter la maladie. Un facteur génétique jouerait peut-être un rôle chez les adultes de moins de 50 ans.

Traitements

Ils freinent l’évolution et rendent les symptômes moins invalidants mais ne guérissent pas.

- La L.dopa, précurseur, de la dopamine, sous formes de comprimés.

- La stimulation cérébrale profonde, par pose d’électrodes dans le cerveau.

L’aide à domicile ou en institution devient nécessaire lorsque les symptômes rendent la personne dépendante.

La sclérose en plaques

Maladie neurologique chronique atteignant le système nerveux central, et parfois les nerfs optiques, qui entraîne des troubles neurologiques variés, évoluant par poussées, régressifs au début de la maladie, puis définitifs.

L’évolution de la maladie peut être très lente (des dizaines d’années) et sa gravité variable. Elle peut aller de la disparition totale des signes pendants des années et à des séquelles mineures jusqu’à une aggravation plus rapide, des régressions plus courtes des troubles er des infirmités très lourdes.

Symptômes

- troubles moteurs : simple fatigabilité d’un membre, difficultés à la marche, tonus musculaire d’un membre modifié, réflexes modifiés,

- troubles sensitifs : anesthésie, paresthésie, fourmillements, hyperesthésie douloureuse, sensations de décharge électrique, etc.

- troubles visuels : névrite optique avec baisse de la vision, troubles de la vision des couleurs, scotomes, douleurs,

- troubles de l’équilibre : vertiges, ataxie (difficultés de coordinations des mouvements), difficultés à maintenir la station debout et à marcher,

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