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Devoir Culture Générale et expression: analyse des documents et extraction des idées à retenir

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Par   •  14 Avril 2015  •  1 313 Mots (6 Pages)  •  917 Vues

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1- Analyse des documents et extraction des idées à retenir

1.1. Le premier texte de cet ensemble de documents est un extrait d’article à visée informative intitulé Le Banquet Chrétien au Haut Moyen Âge. Cet article a été rédigé par Jacqueline Voisenet pour l’Université de Provence en 1996.

On retrouve dans cet article de nombreuses informations, notamment la générosité des banquets au Haut Moyen Âge. Cette générosité traduit une volonté de plaire à ses convives par l’abondance et la qualité des mets servis lors d’un banquet, mais aussi une volonté de montrer sa puissance en partageant avec les convives des mets dits « royaux ».

Le repas festif à cette époque avait plusieurs utilités. Tout d’abord, il permettait de renforcer les liens d’amitié déjà existant, mais aussi de se réconcilier en cas de conflit et de faire la paix autour d’un dîner.

1.2. Le deuxième document est un extrait du roman L’assommoir d’Emile Zola, réédité en 1978. Cet extrait s’intitule « La fête de Gervaise », il s’agit d’un texte narratif.

L’histoire se situe à la fin du XIXème siècle, dans le milieu ouvrier donc un milieu pauvre. Malgré la pauvreté, le repas est très généreux puisqu’on compte cinq plats copieux et du vin en grande quantité. D’autre part, l’hôte « force » ses invités à manger, comme des oies que l’on gave.

1.3. Le troisième document est un article mis en ligne en 2006 intitulé Les femmes dans les banquets politiques en France vers 1848, il a été écrit par l’historienne Jacqueline Lalouette. Cet article a une visée informative.

Lalouette nous informe sur l’abondance des mets dans les banquets politiques. Les femmes n’étaient pas invitées aux banquets avant la révolution de février 1848. Elles assistaient à un défilé de nourriture à l’extérieur, sans pouvoir y toucher. Après la révolution de 1848, les femmes sont admises aux banquets dans des tribunes spéciales, elles ne sont pas mélangées avec les convives. L’égalité entre les hommes et les femmes n’était pas d’actualité.

Dans cet article on apprend que la femme, à l’époque, était un objet de décoration, ainsi, elle devait être muette.

1.4. Le quatrième document est un extrait intitulé « La fête comme excès ». Il s’agit d’un extrait de l’essai de Roger Caillois intitulé L’Homme et le Sacré publié en 1938.

Cet extrait a une visée informative.

Caillois remarque l’évolution des fêtes. En effet, il constate qu’elles sont moins abondantes, elles se sont appauvries. Selon l’auteur, le plaisir ne fait pas toujours partie de la fête, seul l’excès compte. Il décrit les fêtes comme devant être des festins et des beuveries dans lesquelles les convives ingèrent de la nourriture et boivent de l’alcool jusqu’à en être malade. Malgré tout la danse et le chant évoquent une certaine notion de plaisir.

2- Résumé

Aujourd’hui, les fêtes sont moins abondantes ; on les distingue peu de la routine quotidienne. Cependant, en elles subsistent quelques rappels des déchaînements collectifs typiques des anciennes fêtes. Aujourd’hui comme hier, la fête se caractérise par l’excès, comme en témoignent le carnaval, les bals du 14 juillet qui perpétuent cette nécessité sociale. L’excès est bien le fondement de la fête.

Mots : 60

3- Développement personnel

Les repas festifs ont beaucoup évolués depuis le Moyen-âge à nos jours. On peut se demander quels sont les changements les plus notables et quelles en sont les raisons. En effet, de nouvelles formes de repas festifs ont fait leur apparition et leurs raisons d’être ont également changé. Les repas festifs ont aujourd’hui de nouvelles fonctions et différentes causes.

Les repas festifs ont pris une nouvelle forme au fil des siècles. Aujourd’hui, les banquets où la nourriture et le vin étaient très abondants ne sont plus d’actualité. Les repas festifs se partagent avec la famille, les amis ou encore les collègues de travail.

La cuisine

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