Corpus : Médecine et éthique

CORPUS: Médecine et éthique

        La science a progressé au fil du temps, laissant place à certaines technologies, en particulier dans le domaine de la médecine avancée. Cette technologie profite énormément à la vie humaine, mais pour certains, elle soulève diverses crainte quant au fait que son objectif peut s'écarter de celui de son but principal.

Divers documents nous montrent les effets potentiels de nouvelles avancées dans le corps humain grâce à la technologie, distinguant les évolutionnistes d’une part et les  personne incrédule de la standardisation de la médecine avancé de l'autre.

Cependant, est-il vraiment nécessaire de remettre cela en question et d'effectuer une surveillance dans le domaine médicale avancée afin de l’encadrer. ? Pour répondre à notre question, nous étudierons dans un premier temps la médecine qui soigne le vivant, et deuxièmement, la médecine qui dépasse son objectif principal.

        La médecine était à l'origine utilisée pour traiter les personnes les vivant  nécessitant des soins urgents. En effet, le concept de prise en charge des personnes dans le besoin a beaucoup évolué.

On peut premièrement étudier l'essaie d'Alain Corbier, Jean-Jacques Courtine et Georges Vigarello dans « Histoire du corps. Les mutations du regard » dans ce cas, on nous dit que le véritable développement de la médecine, qui n'était autrefois que pour la réparation, est en train de devenir la croissance du corps humain.

L'idée d'augmenter le corps devient  le fruit d'un débat entre Laurent Alexandre et Jean-Michel Besnier dans leur interview: « Les robots font-ils l'amour? Le transhumanisme en 12 questions » ou le docteur Laurent Alexandre a défendu ce dernier et a cru que c'était l'évangile pour corriger les faiblesses que le corps peut connaître.

D’une autre façon dont la romancière Maylis De Kerangal nous raconte  dans « Réparer les vivants » comment ce développement progressif permet à une femme une seconde chance grâce à la transplantation, une nouvelle opportunité pour elle.

Pour en finir , l'affiche de la campagne pour le don d'organes nous rappelle qu'il est impératif d'être donneur pour sauver des vies par la transplantation.

        Cette médecine en constante évolution a même dépassé son propre objectif.

Dans « histoire du corps. Les mutations du regard » Les trois historiens ont expliqué qu'en ajoutant des éléments au corps ou en remplaçant des organes (pour devenir un corps amélioré), les nouvelles technologies ont remplacé le domaine d'origine de la médecine. Ce type de transplantation peut guérir le corps en remplaçant les organes défectueux, mais cette augmentation du corps est devenue un phénomène courant dans la vie quotidienne, c'est ce que l'on voit grâce à la campagne pour le don d'organe. Cette pratique est devenue si courante et a apporté de grands espoirs aux patients, de sorte que lorsque des greffes compatibles sont disponibles, il est urgent de prendre une décision de transplantation comme le roman « réparer les vivants » de Maylis De Kerangal le raconte .

J-M.Besnier dans « les robots font-ils l'amour? Le transhumanisme en 12 questions » a condamné le risque d'innovation à tout prix, tandis que L.Alexandre a soutenu que l'innovation est importante et nécessaire Toutes ces technologies nous le permettent.

Ainsi, la médecine d'aujourd'hui peut soigner ceux qui en ont besoin, mais elle va au-delà de son objectif et soulève de nouvelles questions sur son impact sur le corps et la moralité future.

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