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Les traduction de la Bible en français ; les récits des origines

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Par   •  8 Décembre 2022  •  Résumé  •  1 756 Mots (8 Pages)  •  229 Vues

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Lalaina CASTEL        Introduction à l’AT_L1        Unité /

Unité 1 – Les traduction de la Bible en français ; les récits des origines

Qu’est-ce qui a retenu mon attention dans cette séance ?

Qu’est-ce que j’ai appris ? Qu’est-ce que je souhaiterais approfondir ?

Quelle question reste ?

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La langue est un des moyens les plus utilisés pour la communication (à l’écrit comme à l’oral). On est tenté de croire que les différentes langues existantes apparaissaient dès la création et on se rend compte que « non » car « au  commencement » il n’y a eu que deux (2) personnes donc une seule langue leur suffisait même si des hypothèses, que l’on n’a jamais vérifié ni expliqué, parlent de l’existence (fabrication) de plusieurs « Adam » et « Eve » un peu partout, où qu’ils étaient, entre deux personnes, une seule langue suffit.

Lors  de la destruction de la tour Babel sont apparues plusieurs langues, parlées par des hommes de différentes origines. Dieu s’en est servi non seulement pour arrêter ce qui peut être considéré comme un défit lancé par les humains pour atteindre l’au-delà (Gn 11.4 « Allons ! dirent-ils, bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche le ciel. Faisons un nom afin de ne pas être dispersés sur toute la surface de la terre. ») mais aussi contrairement à leur objectif, disperser les hommes / les diviser selon la langue qu’ils parlent. La langue est à double tranchante : elle a divisé les babyloniens par la destruction de la tour de Babel et à la fois unificatrice pour ceux et celles qui en parlent la même.

Et actuellement, au sein même d’un pays où une seule langue « officielle » est parlée partout les autochtones, on constate diverses compréhensions, différentes manières d’exprimer presque la même idée par différentes personnes. Cela même pour la traduction de la Bible. Oh ! Combien est-elle riche la langue française. Dans cette unité, nous somme en présence d’une dizaine de traduction de la création et une longue liste de traduction faite de la Bible par des chercheurs et connaisseur de la langue initiale (l’hébreu). Ainsi, on  constate qu’il y a peut-être des interprétations, lors des traductions, prouvées par les mots choisis/utilisés, les verbes et les temps de conjugaison.

Exemples :

20% des traducteurs que l’on nous a présentés ici utilisent « Elohîm » pour désigner Dieu.

Environ 70% (7/10) utilisent l’expression « au commencement » et « créa  ».

Cette langue a pu unir catholique, protestant et orthodoxe pour  s’accorder à avoir une traduction commune de la Bible, d’où la naissance (la création) en 1975 de la Traduction Œcuménique de la Bible (TOB). Je ne cesse de découvrir et d’enrichir mes vocabulaires avec des mots que j’ai déjà entendus peut-être auparavant mais je n’ai jamais utilisé en occurrence postdiluvienne, Elohîm… et même des mots ou expressions que je n’ai jamais connus tels que livres deutérocanoniques, Toledot etc.

Ne risque-t-on pas de perdre le sens initial ou originel d’un texte/récit à force de vouloir perfectionner les traductions existantes ?


Unité 2 – Quelques points de repères historiques ; les traditions d’Abraham

Qu’est-ce qui a retenu mon attention dans cette séance ?

Qu’est-ce que j’ai appris ? Qu’est-ce que je souhaiterais approfondir ?

Quelle question reste ?

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« Tous les chemins mènent à Rome » dit-on, mais dans cette unité, nous avons découvert avec la lecture des cartes géographiques et des récits historiques que tous les chemins passent par Jérusalem. Jérusalem était un lieu stratégique envié par tous ses pays voisins c’est pourquoi elle a été envahie à tour de rôle par l’Égyptiens dès le IIe millénaire, puis l’Assyrie dès le XIe siècle, marqué aussi par la fin du royaume du Nord en Israël en 722. Arrivaient les babyloniens à l’an 625. Par la suite, Babylone est pris par la Perse, dirigé par Cyrus le Grand en 539 et par conséquent Jérusalem avec. Ainsi quand Alexandre Le Grand a conquit la Perse il a acquis aussi Jérusalem pendant la période hellénistique. Notons que toutes ces années et tous ces siècles sont datés avant Jésus Christ. Pour finir, les romains sont les derniers envahisseurs en l’an 63 avant notre ère.

Au fil de l’histoire, remarquons que :

Dieu a fait la même promesse à Abraham (le maître) ainsi qu’au fils qu’il a eu de sa servante (Ismaël) à qui Il a promis une grande descendance ;

Abraham a une obéissance sans faille de Dieu quand ce dernier l’a envoyé, il est prêt à partir et s’exécute sans se poser de question, jusqu’à offrir en sacrifice son fils Isaac.

Malheureusement, son histoire est tâchée par des tricheries voire même des manipulations et des mensonges.

Qu’est-ce qui nous distingue des non croyants si nous nous permettons délibérément pour protéger notre vie ? et surtout, actuellement, peut-on encore tricher pour plaire à Dieu ou pour Lui servir ?

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