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La Critique De La Religion Dans Le Supplément Au Voyage De Bougainville

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Par   •  3 Janvier 2013  •  586 Mots (3 Pages)  •  3 533 Vues

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La critique de la religion

Au XVIII° siècle, la religion est très critiquée par les lumières et surtout par Diderot. Il affirme que "Dieu ne peut être appréhendé par la pensée scientifique et rationnelle des hommes" A l’époque la religion était omni présente et plusieurs écrivains l’ont critiqué en essayant de contourner la censure.

Dans le supplément au voyage de Bougainville, Diderot nous montre que la religion fait peser des interdits sur les fidèles.

Tout d’abord nous allons aborder la mise en cause d’une création divine, puis l’argumentation entre Orou et l’aumônier et enfin le manque de liberté des fidèles.

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Mise en cause d'une création divine

Les philosophes des lumières ne croient pas une seconde en ce que Dieu ait crée le monde. Dès le début du livre, Diderot remet en question la création du monde par dieu.

Au XVIII ème siècle, la religion est très critiqué par les lumières et surtout par Diderot. Il affirme que "Dieu ne peut être appréhendé par la pensée scientifique et rationnelle des hommes" Dans supplément au voyage de bougainville, Diderot nous montre que la religion fait peser des interdits sur les fidèles.

Les philosophes des lumières ne croient pas une seconde en ce que Dieu ait crée le monde. Dès le début du livre, Diderot remet en question la création du monde par Dieu.

Diderot nous montre bien dans cette première partie l'absurdité de la religion et en particularité l’absurdité de Dieu.

Argumentation entre Orou et l’aumônier

Dans le supplément au voyage de Bougainville, Diderot appuie le fait que Orou n’a aucune idée du terme « religion » !

Lorsqu’il compare leurs modes de vie, Orou décrit sa religion comme libre par rapport a la religion Catholique. Il utilise beaucoup de mots méliocratifs et met vraiment en valeur sa pseudo religion.

D’autre part il insinue que le Dieu de l’aumônier n’existe pas, qu’il n’est qu’une sorte de symbole car il est « invisible et partout a la fois ».

Il utilise les arguments de l’aumônier pour les retourner contre lui, le mettre en position defavorable voir emettre le doute en lui. Par exemple l’aumônier lui raconte les principes de sa religion ainsi que ses droits et devoirs en tant que fidèle mais Orou nous prouve que les obligations de l’aumônier contredisent les principes même de cette religion ( comme par exemple Adam et Eve et lui n’a pas le droit de faire des enfants )

Le public a tendance a s’identifier au mode vie d’Orou car les personnes sont peu croyantes, par le biais de son mode de vie qui parait plus libre et plus compréhensible avec la Création du Monde. Grâce à ca, il évoque toutes les contradictions que subit l’aumônier de sa religion et l’obéissance à un Dieu, qui a plus un rôle de symbole. Orou dit que le Dieu de l’aumônier « ordonne » sans « punir » si il y a fautes.

Diderot ne relève en aucun cas les qualités de la religion, le passage entre Orou et l’aumônier a pour but de montrer

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