Les relations humaines à travers les deux logiques de lecture du récit de la génèse

Première logique du récit :

Dans la première logique du récit, le Seigneur Dieu non seulement veille tout au bien de l’être humain : Il l’installe dans un jardin magnifique, où la vie déborde autant que les fleuves. Mais aussi, il lui donne une responsabilité et lui donne sa nourriture. Ensuite lorsqu’il comprend que quelque chose ne va pas, parce que l’homme est seul "Il n’est pas bon que l’homme soit seul"1 il fait sont maximum pour combler le manque et donne à l’être humain la compagnie des animaux puis celle de la femme qui cette fois seras la bonne. Lorsque l’Homme et la femme (Adam et Éve) sont tout les deux nus l’un devant l’autre, ils montrent leur différences. Mais cela se passe sans honte, s’ils ne se cachent pas, c’est qu’ils ne vivent pas leur différence et leur limite comme une frustration, voir une menace. Au contraire, ils démontrent que vivre en harmonie c’est d’accepter différences et fragilités pour consolider leur relation.

Deuxième logique du récit:

Dans la deuxième logique du récit, on constate que les relations humaines se déteriorise. Le serpent a réussi convaincre Éve de franchire la limite que Dieu lui avait imposé en lui disant que si elle mange le fruit de l’arbre de la connaissance, elle deviendrait comme Dieu, connaissant le bien et le mal.

En suivant ces recommandation, Éve mangea le fruit et en donna à Adam. dés la première bouchée, ils ont pris peur et ont caché honteusement leurs limites et leur différences. Soudain, ils prirent consciente de l’utilité de leurs faiblesses: elles ne sont plus comme une chance de relation mais bien à cachées "et ils cousirent du feuillage du figuier, et ils se firent des pagnes"2. Désormais, il est nécéssaire de cacher ces points faibles pour éviter que l’autre ne les utilise pour prendre le dessus.

La relation va continuer à se déteriorer, Adam va accuser la femme de l’avoir influencer et va repprocher à Dieu de l’avoir créée.

...