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Rapport d'observation

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Par   •  14 Octobre 2018  •  Rapport de stage  •  1 381 Mots (6 Pages)  •  471 Vues

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L’OBSERVATION PARTICIPANTE :

RAPPORT D’OBSERVATION

par

MAYA BÉLAIR

JEANNE COUTURE-SAMONINI

présenté à

Louis Roy

                                        Cégep Édouard-Montpetit

Peuples et cultures

Cours 381-144-EM, groupe 1070

5 octobre 2018


Le quartier :

Jean-Talon est un boulevard très prisé.  Il est très large et il y a une grande circulation autant routière que piétonnière même étant en après-midi d’un jour de semaine.  Les automobiles stationnés sont beaucoup plus souvent de marque que dans les rues avoisinantes.  D’un côté, il y a une sortie de métro à l’intérieur même d’un centre commercial.  De l’autre côté du boulevard se trouve une église avec des couleurs neutres, du brun et du beige précisément.  Elle est très sobre, avec qu’une petite quantité de détail et sans ornement.  Les rues se trouvant dans les alentours sont beaucoup plus résidentielles.  Parfois, il y a un mélange du résidentiel et du commercial dans une même rue.  Par exemple, les commerces vont se situer au rez-de-chaussée des immeubles et les appartements sont dans les étages supérieurs.  Une autre église se retrouve dans ce quartier nommée « Maison de Dieu ».  Elle n’est pas seulement pour les chrétiens, elle accueille des membres de toutes les religions et autant des visiteurs que des résidents du quartier.  Dans les rues résidentielles, les immeubles sont un mélange de neuf et de vieux et principalement des appartements. Les terrains sont bondés d’arbres qui apporte de la verdure à cet espace urbain.Sur plusieurs façades d’immeubles, il est possible d’y apercevoir des graffitis.  Ce sont des graffitis fait par des artistes et ressemblent donc plus à des œuvres d’art.  Ils sont également signés dans le bas.  Il est possible d’y apercevoir une maison avec un bacon en bois et une clôture en fer forgé noir.  Les briques sont peinturées en gris et la porte est blanche.  Contrairement à plusieurs autres immeubles, il n’y a pas d’escalier à l’extérieur.  Le gazon est très peu entretenu et presqu’inexistant.  Les trois fenêtres sont faites à la verticale.  Elle est également collée aux autres immeubles voisins.  Dans les ruelles, les appartements sont vieux mais très décorés par des fleurs, des rubans et des affiches colorées.  Il y a la présence de pancarte qui dit de faire attention aux enfants en circulant dans les ruelles.  Les gens du quartier n’étaient pas très nombreux puisque c’était un jour de semaine où tout le monde est au travail.  Les passants sont de toutes les nationalités de tous les âges.  Les langues parlées sont nombreuses.  Les commerces sont beaucoup en lien avec l’Afrique et l’Orient.  Il y a un mélange culturel important car il y a des Subway et des Jean Coutu autant qu’on y retrouve des commerces vietnamiens, latinos et africains.  Ce quartier contient même un centre d’aide en français, anglais et vietnamien.  Il y a des épiceries et des restaurants ethniques en abondance de même que des centres dentaires vietnamiens.  La langue des commerces est beaucoup plus l’anglais que le français ainsi que la langue principale de la personne ethnique.  Il y a un parc intégré à la ville.  Il y a un espace de jeux pour les enfants ainsi que de la verdure.

Le restaurant

Le restaurant Andes se situe à l’intersection de la rue Bélanger et la rue Saint-Vallier.  Ce restaurent est en fait une partie de l’épicerie portant ce nom.  Ce restaurant est d’origine d’Amérique latine, mais plus précisément de Bolivie.  Pour y accéder, il faut nécessairement passer par l’épicerie.  L’entrée du restaurent se trouve à la droite de la caisse.  Le restaurant est assez petit avec un maximum de 10 tables.  Malgré sa petite taille, l’endroit est très chaleureux étant donné que les gens sont accueillants.  La place est très colorée grâce aux papiers peints verts parsemés de perroquets colorés.  La musique jouée est de la musique typiquement d’origine latine qui se mêle bien à l’ambiance qui y règne.  La commande n’est pas prise à la table.  Il faut plutôt commander ce que l’on veut au comptoir et ensuite payer.  Une fois le processus complété, il est possible d’aller s’asseoir à une table pour manger.  La nourriture est déjà cuite et gardée dans des réchauds.  La clientèle n’était pas nombreuse, mais elle semble pourtant être très proche du cuisinier et des deux préposées qui travaillaient sur place.  Les employés se parlent entre eux et avec les clients en espagnol.  Les clients se parlent également en espagnol.  Les descriptions des plats sont indiquées sur une feuille collée sur la vitre montrant la nourriture dans les réchauds.  Les écritures sont en espagnol et en français en plus petit, dans la ligne d’en dessous.  La préposée à très bien su répondre à nos questions sur les plats servis avec un grand sourire. Elle est venue à nous en nous saluant en espagnol mais s’est reprise ensuite en français voyant que nous ne pouvions pas nous exprimer dans sa langue.

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