Les grands courants psychologique

D’entrée de jeu, la psychologie de l’enfant comprend environs plusieurs grands courants à savoir : la psychologie expérimentale, la psychologie différentielle, la psychologie cognitive, la psychologie sociale, la psychologie clinique, la psychopathologie, la psychologie développementale. Le premier débute au milieu du 19e siècle et son concept clé est l’expérimentation. Son développement passe par Gustave Fechner (1801-1887), ainsi son paradigme repose sur le principe : expérimenté pour découvrir les lois de la pensée (esprit).La deuxième qui est la psychologie différentielle étudie les différences psychologique et est débuté à la fin du 19e siècle. Si son paradigme est de comprendre la variabilité de comportements, son développement passe par le travail de Francis GALTON (1822-1911) qui fut lui-même le créateur de ce courant de pensée. En 3eme position le cognitivisme intervenu au milieu du 20eme siècle va contre le behaviorisme et ses concepts clés sont les traitements de l’information pour garder comme paradigme l’esprit comme une machine à traiter l’information. George Miller reste comme un auteur dans ce domaine. A la suite de ce courant, c’est la psychologie de développement qui se permet de mieux comprendre le disfonctionnement de certains individus donc son objet d’étude sont les différentes étapes de développement ; elle retient comme paradigme l’Homme est en perpétuel développement, pour Henry Wallon (1879-1962), le développement de personnalité de l’enfant est comme une succession de stade avec prédominance de l’affectivité sur l’intelligence. A la suite de la psychologie de développement, vient la psychologie sociale ; ce courant cherche à cerner la dynamique du groupe et son influence sur l’individu. Elle propose comme paradigme : l’individu est une partie influence et influencée par la dynamique du groupe. Pour ce fait donc elle se donne à étudier donc les phénomènes de l’idéologie, de communication, de leadership, de conflit, d’appartenance, et les représentations sociales. Pour atteindre ses objectifs il procède par l’observation de l’individu, du groupe et des relations au sein du groupe. Juste après celle-ci vient le cognitivisme qui est un courant de la psychologie apparue au milieu du XXème après l’élimination des phénomènes mentaux, du champ d’étude de psychologie par le behaviorisme pour ne considérer que les seuls comportements. La psychologie cognitive rétablie l’esprit au centre de ses préoccupation. Ainsi, son paradigme repose sur l’esprit est une machine à traiter l’information. La psychologie clinique quant à elle, est une science de la conduite humaine fondée principalement et l’analyse approfondie des cas individuels aussi-bien normaux que pathologique et pouvant s’étendre à celle des groupes. Pour ANZIEU, en 1983, la psychologie clinique est considérée de la manière suivante « elle est une psychologie individuelle et sociale, normale et pathologique, elle concerne le nouveau-né, l’enfant, l’adolescent, l’Homme mur et enfin le mourant… ». Son paradigme se résume en ce que chaque individu est unique, le comportement fait l’objet d’un déterminisme inconscient. De son côté, la psychopathologie s’intéresse au comportement et personnalité pathologique ; elle interroge en permanence le lien normal et pathologique. Elle fut créée en 1880 par le français Ribot. Son paradigme

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