Écrits personnels sur une année d'Etude en infirmier

La situation choisie se déroule lors de mon deuxième stage en tant qu' étudiant infirmier en première année au Centre Hospitalier Sud-Francilien en service de diabétologie. C'est un service pluridisciplinaire composé de 3 médecins, 4internes, 9infirmières, 9 aides soignantes, 2 ASH (agent de service hospitalier) et ayant la capacité d'accueillir environ quarante patients, c'est ainsi que j'ai pu faire la connaissance de madame G 71ans admis dans le service pour déséquilibre de diabète le 04/05/14 . Il s'agit d'un diabète de type 2 c'est à dire que son pancréas ne sécrète pas assez d'insuline afin que son organisme puisse avoir un taux de glycémie correcte. Son diabète a été découvert en 1991, depuis elle vivait sans trop prendre en compte son diabète jusqu'en 2002 ou il commençait ses injections d'insuline. Madame G souffre aussi d'arthropathie chronique dégénérative caractérisée par la douleur, mécanique et diurne et la difficulté à effectuer des mouvements articulaires. Madame G a pour habitude de pratiquer ses injections d'insuline a chaque repas afin que se glycémie ne monte pas trop haut, ce qui nous amene a cette situation qui se déroule a J1 après son hospitalisation a environ midi trente à l'heure du déjeuner, l'aide soignante chargé de la distribution des repas sert madame G dans sa chambre, c'est alors que l'infirmière et moi même la rejoingnèrent, lui prenons sa glycémie avec notre appareil et nous lui informons de la dose d'insuline a d'injecter selon le resultat obtenu de son taux de glycémie. L'infirmière n'eyant jamais vu madame G faire son injection a jugé necessaire que je reste avec elle afin de voir comment elle s'y prends. La méthode adopté par madame G m'a stépéfait car de ma petite expérience du milieu hospitalier, jamais il m'étais permis de voir une tel chose. Afin de s'injecter la dose d'insuline, madame G prépare correctement son stylo en y ajoutant l'aiguille mais n'ayant pas du tout de force dans son poignet a cause de son arthrose s'appuie contre le mur avec le stylo et s'aide du poids de son corps afin d'appuyer sur le stylo et s'injecter l'insuline. Bien evidemment cette technique pas commune est dangereuse car d'une part elle ne sait pas exactement ou est ce que l'aiguille penetre dans sa peau et d'autre part, ne voyant pas si l'insuline a ete correctement injecté cela peut compromettre sa santé en faisant par la suite une hyperglycemie peu de temps apres le repas. Après son injection, je demandais a madame G si elle pratiquait a chaque fois cette technique, elle me repondit que oui car qu'elle n'avait pas le choix puisqu'elle est veuve et n'a pas eu la chance d'avoir des enfants. Elle vit seule a la maison elle n'a donc pas l'opportunité de se faire aider pour se soin. Faire venir une infirmière chaque jour uniquement pour une injection d'insuline lui couterai trop chère donc ne préfere pas y faire appel. Une fois mon entretient terminé avec madame G je fis part de la situation a l'infirmière qui s'occupait d'elle. Elle fut autant étonné que moi par cette methode et alla chercher des informations complémentaires chez la patiente afin de mieux comprendre le déroulement des evenements. Cette situation

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