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Résumé Et Critique, Chapitre 1, " Parler Pour Que Les Enfants écoutent, écouter Pour Que Les Enfants Parlent "

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Par   •  27 Mars 2015  •  2 417 Mots (10 Pages)  •  849 Vues

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Résumé

Le livre intitulé « Parler pour que les enfant écoutent, écouter pour que les enfants parlent » raconte l’histoire comment Adèle Faber, mère épuisée de trois enfants turbulents a eu recours à un atelier destiné aux parents. Le but était d’aller chercher de l’aide pour mieux comprendre les causes et solutions des conflits entre elles et ses enfants. Généreusement, elle a choisi de partager ses nouvelles connaissances et habiletés auprès des autres parents (Faber et Mazlish, 2002).

Le chapitre 1, première partie « Aider les enfants aux prises avec leurs sentiments » explique que les sentiments des enfants sont directement liés à leurs comportements. En d’autres mots, « si les enfants se sentent bien, ils se comportent bien ». Cependant, elle raconte que le parent, de façon général et naturelle, ne reçoit pas les sentiments de leurs enfants. Par conséquent, ceci serait très dommageable, puisque cela leurs apprends pas à faire confiance à leurs propres perceptions, mais plutôt à ceux de leurs parents. Alors, écouter nos enfants serait fondamental (Faber et Mazlish, 2002).

Après avoir appliqué cette nouvelle habileté, elle remarque une diminution du nombre de disputes entre elle et ses enfants. Par contre, elle remarque que le naturel revient aussitôt au galop lorsqu’elle fut bouleversée lors d’une conversation avec ses enfants. Elle apprend par la suite que cette réaction est tout à fait naturelle et que plusieurs raisons explique ce phénomène. L’auteur dévoile qu’il existe 8 façons différentes utilisées par les amis pour essayer de réconforter soit par : la négation des sentiments, une réponse philosophique ou empathique, des conseils, des questions, la défense de l’autre personne, la pitié et la psychanalyse d’amateur. Elle avoue franchement que lorsqu’elle reçoit de l’aide sous ces formes décris ci-dessus, ceux-ci ne font que accentuer davantage les émotions négatives ressenties. Elle réalise alors que c’est l’écoute réelle qui informe l’enfant en détresse que le parent reconnaît sa souffrance intérieure. Ceci permet à l’enfant de communiquer plus facilement, de reconnaitre ses sentiments ainsi que faciliter la résolution de problème. Donc, écouter attentivement permettrait de reconnaitre la souffrance de l’enfant (Faber et Mazlish, 2002).

Alors selon elle, il existe quatre façons possibles d’aider un enfant aux prises avec leurs sentiments. 1. « Au lieu d’écouter à moitié… Écoutez attentivement » 2. « Au lieu de questions ou de conseils… Accueillez à l’aide d’un mot : Oh!... Hum!... Je vois » 3. « Au lieu de nier le sentiment… Nommez son sentiment » 4. « Au lieu d’utiliser la logique et les explications… Utilisez l’imaginaire pour offrir à l’enfant ce qu’il souhaite » Cependant, le plus important c’est l’attitude avec laquelle le parent adresse l’enfant. Celui-ci doit être munie d’un sentiment d’empathie afin que l’enfant puisse croire en la bienveillance du parent (Faber et Mazlish, 2002).

La deuxième partie de ce chapitre, l’auteur répond à dix questions pertinentes posées par les parents. 1. Elle explique que le parent ne doit pas toujours être empathique avec son enfant. Il se doit, lorsque l’enfant désire partager ses sentiments. Ce sont les sentiments négatifs et non positifs qui cause problème et nécessite une certaine habilité. Alors, il est important d’éviter de nier ou de moraliser. 2. Il faut également éviter de poser des questions directes à l’enfant. Il est difficile pour lui d’analyser la cause et procurer une explication logique lorsqu’on lui demande la question « Pourquoi ? ». Ceci ne fait que s’ajouter à leur détresse initiale. Donc, il est plus facile pour l’enfant lorsque le parent l’écoute opposer à trouver une explication. 3. Il ne s’agit pas aussi de faire comprendre à l’enfant qu’on est en accord avec ses sentiments, mais qu’ils sont reconnus dans le but de pousser la réflexion. 4. Il s’agit pas encore non plus de dire simplement « Je comprends comment tu te sens » à l’enfant mais de préciser davantage. Par conséquent, il aura tendance à croire réellement le parent. 5. Aucun risque également ne se pose si le parent se trompe lorsqu’il nomme le sentiment. L’enfant est sensible aux efforts de celui-ci et le remettra aussitôt sur la bonne voie. 6. S’il arrive aussi que les sentiments de l’enfant blessent le parent, il se fit simplement de lui dire et de lui demander de s’exprimer d’une autre façon. 7. Lorsque l’enfant est en colère, l’activité physique aide à soulager. Il est plus sage pour le parent de demeurer près de lui et de le regarder ce qui démontre que ses sentiments colériques sont compris et reçus. 8. Il ne faut pas aussi accepter tous les sentiments de l’enfant, mais seulement dans la mesure où ils sont admis et où le comportement est acceptable. Dans se sens, l’enfant accepte plus facilement les limites établies. 9. Malgré que les conseils puissent parfois être utiles, ils privent également l’enfant de vivre l’expérience face à un tel problème. Il faut donc résister d’en offrir. 10. Finalement, l’auteur explique que même si la réponse produite par le parent n’aide pas vraiment l’enfant, il a le temps et la chance de se reprendre à autre moment donné (Faber et Mazlish, 2002).

Elle choisis de partager, dans la prochaine section de ce chapitre, les mises en garde des auteurs importantes à retenir. I. Le parent ne doit pas reprendre textuellement ce que l’enfant dit sinon il va protester. II. L’enfant préfère que le parent évite de lui parler de ce qu’il l’angoisse, sa simple présence suffit. III. Une réponse correcte du parent, mais dépourvue d’émotion irrite l’enfant. IV. Le parent doit éviter de répondre sur un ton plus élevé que celui sentie par l’enfant. V. Le parent se doit de ne pas répéter les mots péjoratifs utiliser par l’enfant pour se qualifier (Faber et Mazlish, 2002).

Dans la dernière section de ce chapitre, l’auteur fait part des témoignages de parents dans le but démontrer leurs nouvelles dispositions à écouter et à recevoir les sentiments de leurs l’enfant (Faber et Mazlish, 2002).

Lien avec la matière vu en classe

D’une part, ce premier chapitre, « Aider les enfants aux prises avec leurs sentiments » représente lorsque l’enfant vit des émotions douloureuses. Alors, les quatre habiletés (façons) décris dans la dernière section permet au parent de développer et promouvoir un regard empathique envers l’enfant en détresse. Cette empathie est en partie fondamentale au soutien de l’autodétermination. En d’autres

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