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Recherche : le parcours d'un(e) résisant( e) français(e) 3°3 Laetitia Hélène Berthaud

Commentaire de texte : Recherche : le parcours d'un(e) résisant( e) français(e) 3°3 Laetitia Hélène Berthaud. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Février 2015  •  Commentaire de texte  •  720 Mots (3 Pages)  •  763 Vues

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Recherche : le parcours d'un(e) résisant( e) français(e) 3°3

Laetitia Hélène Berthaud

Hélène Berthaud,(source France 3) (Source France 3.) Hélène Berthaud, à Montluc (Le progrès)

I) Identification

Hélène Berthaud est néé le 3 avril 1923 à Bourg-en-Bresse,dans l'Ain.

Elle fut décédé le 5 mai 2014, à l'âge de 91 ans.

Elle utilisait le nom de résistance Moineau.

Son nom de naissance est Hélène Dubois.

Elle était l'aînée d'une famille modeste de dix-huit enfants.

Elle a vécu son enfance et sa jeunesse à Bourg en Bresse.

Elle était veuve du résistant Rodolphe Berthaud (mort en 1956).

En Janvier 1936, à l'âge de 13 ans, elle entre dans la vie active en tant qu' apprenti tailleur puis ouvrière, secteur dans laquelle elle a travaillé jusqu'en mai 1944 à Bourg-en-Bresse.

Elle avait une grande admiration pour son père, engagé volontaire à 17 ans au cours de la guerre 14-18.

La foi d'Hélène dans la France était sans faille.

II) L'entrée en Résistance

En février 1941, à 18 ans et déjà convaincue, elle entra en Résistance en portant un message à bicyclette, à la suite d'une conversation qu'elle eut avec un vitrier puis à l'admiration de son père. Elle s'y engage, pour assurer des missions de propagande et de programme de diffusion dans la ville. Son engagement a donc à été spontané.

Hélene savait les risques encourus en entrant dans Résistance, qu'elle pouvait se faire arrêter

et être condamnée à mort..

III) L'Action

Elle s'y était engagée pour assurer diverses missions de propagande et de programmes de diffusion.

En 1942, elle devint agent de liaison pour les forces Françaises de l'intérieur (FFI) entre Bourg-en-Bresse et Lyon. Remarquée par Alban-Vistel, elle resta à Lyon pour des missions de plus en plus pointues. Elle sert jusqu'en août 1944 les Mouvements Unis de la Résistance. Deux mois plus tard, le 3 août 1944 elle fut dénoncée par une amie qui avait compris la nature de son engagement. Cette amie l'avait dénoncéé par amour pour son amant qui était militaire allemand. Elle fût donc arrêtée par la Gestapo sur le pont Morand à Lyon, puis internée à la prison de Montluc. Interrogée, brutalisée et torturée par Klaus Barbie, elle est condamnée à mort le 18 août sans avoir parlé. Elle attend la mort lorsque la prison est libérée le 24 août,alors que Lyon ne l'était pas encore. Hélène retourna au combat jusqu'au 2 septembre. Elle a participer à la libération

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