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COM 2005- travail noté 2

Dissertation : COM 2005- travail noté 2. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Octobre 2018  •  Dissertation  •  2 477 Mots (10 Pages)  •  681 Vues

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Au Québec comme dans le reste du Canada, l’histoire de la radiodiffusion et des télécommunications ont fait jaser et ont amené plusieurs lois et règlementations dans la société.  C’est ainsi que plusieurs acteurs sociaux ont eu des occasions en or de faire valoir leur point de vue et de faire connaitre leurs opinions par rapport a les conceptions de l’acces a l’espace médiatique et aux technologies de communication. De la radio a l’internet, l’histoire des communications est toujours très active dans la société actuelle.

Aujourd’hui, il faut comprendre plusieurs aspects de cette évolution, donc je vais vous présenter comment la réglementation de la radiodiffusion et des télécommunications au Canada a fait l’objet, depuis toujours, d’une interaction dynamique entre les acteurs sociaux à la fois des sphères publique, privées et communautaires, et comment cette réglementation est un résultat historique de cette interaction tantôt consensuelle, tantôt antagonique.

Tout d’abord il faut comprendre que la radiodiffusion a toujours été très active et ce, depuis ces débuts dans les sociétés. Elle a joué des rôles importants et d’envergures sur le développement économique et politique du Canada. Qu’elles sont ses rôles? Il s’agit enfaite de la constitution et le renforcement de l’unité nationale et par la suite, le développement du capitalisme. Il faut comprendre que la radiodiffusion ne date pas de hier et elle a parcouru un long chemin pour être ce qu’elle est aujourd’hui. Le chemin de fer est un bon exemple de similitude entre les deux. Ils sont suivis le même genre de parcours. En 1923, le premier service de radiophonie qui était destinée à l’usage des trains seulement. C’est donc la compagnie « Canadian National Railways) qui ont le privilège d’inaugurer cette première invention destine aux clients, aux hôtels et aux employées. Cependant, il faut comprendre que le gouvernement a émis plusieurs permis de radios en peu de temps et c’est alors qu’ils s’aperçoivent de la grande demande et ils prennent conscience de ce qui est train de se passer dans les sociétés.

 Cette radiodiffusion et les télécommunications sont devenues le point central des décisions politiques qui unifient le gouvernement. Nous comprenons alors que le besoin d’unification nationale a été demises comme son précèdent, les chemins de fer. La radiodiffusion c’est concentrer dans les grandes espaces urbaines afin d’avoir de plus grands avoirs et de profils en ayant comme menu des enregistrements musicaux et des programmes d’origine états-unienne. N’ayant pas les plus grands budgets, le contenu Canadien de la radio n’est pas énorme et diversifiant. Donc n’ayant peu de budget, le contenu des émissions n’est pas ce qui est de plus original. Dans les années 1923, la diffusion de la programmation états-uniennes explose de façon significative et s’étend sur les territoires Canadiens. Pour y remédier, en 1924 le Canada veut s’entendre avec le ministère du Commerce américain pour ainsi créer les premiers partages de fréquences. Plusieurs problèmes surviennent dans comme la médiocrité des émissions diffuses au Canada, l’utilisation de la réclame, l’embouteillage dans les stations radiophoniques des villes plus peuplées, programmations états-uniennes, etc.  La commission royale veut une nationalisation de la radiodiffusion et ainsi, supprimer les stations privées.

Alain Plaunt et Graham Spry ont créé une ligne canadienne de la radio pour stimuler d’un service public de la radiodiffusion. En revanche, cette idée cause problème et fait la manchette d’une pression contre l’amorcement du fédérale-provincial concernant la juridiction sur la radiodiffusion. Maurice Duplessis fait de la loi du Service provincial de la radiodiffusion, en 1945, soit adopte. Cependant, un acteur soit le ministre C.D. Howe affirme sa supérioté sur la radiodiffusion. C’est ainsi que grâce à l’après-guerre et un rebondissement énorme sur les profits du secteur prive que l’Association canadienne des radiodiffuseurs ne perd aucun instant pour contredire et manifester contre le processus d’institutionnalisation de la radiophonie et que cette gestion soit prêtée à un organisme impartial. C’est ainsi que les radiodiffuseurs prives ne perçoivent pas bien la société.

Radio-Canada, en 1946, veut s’emparer de tous les ondes de hautes puissances en radiodiffusion du Canada. Selon ce qu’on sait, il s’agit de six ondes de hautes puissances, mais deux échappent au réseau public car elles sont consacrées a des stations privées. La nouvelle société d’État de Mackenzie King a un double mandat soit faire certain qu’il y est un service radiophonique pan-canadien et de s’assurer d’avoir les permis et règlementation pour les secteurs de la radiodiffusion nationale (ceux qu’elle ne possède pas soit le secteur privé). L’implantation du secteur public ne vas pas faire en sorte que le secteur privé disparaisse. La radiophonie privée prend d’assaut le marche avec des publicité sur les ondes et des commanditaires. C’est en 1936, qu’un régime de cohabitation s’empare du prive et du public. « Radio-Canada ne semble guère gêner les entreprises privées. La tendance états-unienne et la force du lobbying politique dans le monde des affaires viennent soutenir les projets des radiodiffuseurs prives et même interférer dans le développement de la société d’état. La lutte contre l’étatisation des ondes puis la critique du double rôle de juge et de producteur que joue Radio-Canada sont, au cours de ces années, les arguments porteurs des intérêts du secteur privé. Mais les entreprises n’ont pas la même insatisfaction selon qu’elles sont ou non affiliées à Radio-Canada. Une fois affiliées, les stations privées, en général des petits postes locaux, sont subventionnées directement par la société d’État qui absorbe à elle seule les frais d’exploitation du réseau. On socialise les risques tandis que l’on privatise les profits ». (Manuel « La politique de radiodiffusion au Canada », chapitre 3, p. 6). Les entreprises ont gagné leur cause dans les intérêts qui les opposent à Radio-Canada. La création du Bureau des gouverneurs de la radiodiffusion est mêmes propose. Alors, il s’agit d’éliminer Radio-Canada dans sa fonction de réglementation de la radiodiffusion. En revanche, on affirme que ce nouveau Bureau va règlementer et contrôler les stations publiques et privées et d’avoir une importante sur les politiques.  

        Les mêmes enjeux, d’un medium a l’autre, c’est le moment de la télévision qui fait son apparition au Royaume-Uni puis aux Etats-Unis. C’est donc en 1946, l’organisme des règlementations (Federal Communications Commission, FCC), a déjà distribue plus d’une vingtaine de licences aux télédiffuseurs. Nous constatons donc que les Etats-Unis sont agressifs dans l’acquisition des programmations, car non seulement ils se font sentir dans les stations privées de la radio et leur partenariat avec CBS et NBC (télévision) mais qu’ils ont un grand intérêt financier qui les soutiennent.  Alors, le Canada craint, avec raison, l’envahissement états-unien. Cette domination avec toutes les publicités sur les ondes et une exportation des biens commercial de la radiophonie. Le Canada envisage donc l’exploitation de la matière de télévision possible pour les consommateurs.  « La radiodiffusion se retrouve néanmoins parmi ses mandats spécifiques parce qu’elle doit faire des recommandations concernant les principes de base devant guider les politiques canadiennes en matière de télédiffusion » (Manuel « La politique de radiodiffusion au Canada », chapitre 3, p. 7). La télévision est envisagée!  Avec le Bureau des gouverneurs, des licences sont approuvées pour quelques stations de télévision privée en périphérie qui sont déjà desservie par d’autre station publique.  Comme la radio, la télévision subie des pressions de nos voisins des américains.  Donc le côté économique est touché. « Comme le Bureau des gouverneurs qui, au problème de l’américanisation des ondes, a trouve la solution dans la canadianisation des contenus; la société Radio-Canada, par la voix de son président Alphonse Ouimet, soutient auprès du gouvernement fédéral qu’il faut contrôler ce qui est reçu par le destinataire en règlementant ce qui est transmis. On redonne du même coup toute sa force au point de vue provincial sur la réglementation de la radiodiffusion : les médias ont des contenus d’ordre éducatif et culturel de compétence provincial ». (Manuel « La politique de radiodiffusion au Canada », chapitre 3, p. 12)

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