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Au sujet de G. W. Bush.

Synthèse : Au sujet de G. W. Bush.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Décembre 2019  •  Synthèse  •  1 119 Mots (5 Pages)  •  405 Vues

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Au sujet de G. W. Bush.

En 1999, les Etats-Unis votèrent afin d’élire un nouveau président. Pendant 8 ans, ils avaient à leur tête, comme chef d’état, un démocrate, dont la fin du mandat du Président Clinton avait pour sujet ‘’l’affaire Lewinsky’’ et qui a aboutie par un ‘impeachment’, une destitution symbolique. Les valeurs, dont la société américaine avait été établie, ont été transgressée. L’Amérique devaient rétablir l’étiquette de la pureté à la Maison Blanche et ainsi prouver leurs foi religieuses. George W. et Laura Bush furent les mandataires de cet élan. En l’an 2000. George W. Bush était désormais ‘Le Président’. Il devait dévoiler a l’église, aux citoyens américains, et au monde entier, les changements profonds et de rétablir les valeurs qu’est le symbole « We Trust in God », que nous croyons en Dieu, qui était inscrit dans leur constitution. Il a consacré des séances d’étude de la Bible et des prières au début de chaque conseil des ministres, afin de démontrer la foi religieuse du président et du gouvernement. Tom Delay, ‘‘chef du groupe républicain a la chambre des représentants’’ avait déclaré devant une congrégation baptiste que ‘Dieu lui-même avait placer le Président Bush a la Maison Blanche’, afin de promouvoir une vision biblique de la société et du monde. Les alliances politico-religieuses mises sur pied par l’église permette de financer sa campagne électorale. Ils offraient des séminaires d’éducation politique, incitent les gens à s’inscrire sur les listes électorales. Les associations informent le public des candidats, en publiant le relevé de leurs votes sur tel ou tel point jugé capital par les conservateurs. Les fidèles verront leur soutien financier comme des occasions de fortifier par leur pratique religieuse. La frontière est donc excessivement ténue entre le discours de G. W. Bush et le sermon prononcé par l’église, retransmis dans des millions de foyers, sermon qui, à côté d’explications de passages bibliques, insiste longuement sur les problèmes moraux qui sont devenus l’ossature du discours politique dominant. Le mélange des genres qui se pratique dans divers groupes religieux américains. Le Président George W. Bush, avait créé une curieuse alliance entre la droite chrétienne et le mouvement sioniste, il a amené l’Israël et le Président Sharon, ‘‘le plus proche allié des Etats-Unis’’, dans son élan, afin de rétablir les bases, que le peuple Américain lui avait demandé. Sur la plan international, George W. Bush était à la recherche d’une position, d’une puissance inattaquable. Et voilà qu’arriva les attentats du 11 septembre 2001. Afin de démontrer sa supériorité, le gouvernement et pour la justification d’une guerre éventuelle, se retourna vers la religion pour imposer le respect et de trouver une stabilité internationale et donc de retrouver sa puissance incontestée. L’Amérique peut-il diriger la région du ‘’Moyen Orient’’ comme ne l’a fait aucune puissance depuis les Ottomans, voire les Romains ? Nous trouverons dans cet argument plusieurs contradictions qui consiste à une supériorité d’une des religions monothéistes sur le plan international et sur le plan des autres religions. En 2002, George W. Bush, avait déclaré, pour l’invasion de l’Irak, ‘’avoir reçu un message de Dieu’’ pour avoir le soutien du congrès, du sénat et bien sûr avoir une très grande partie du citoyen américain a ses flancs. Nous avons vue les résultats, après plusieurs années de conflit et de mensonges, sa cote de popularité disparaitre et l’un des présidents le plus haïs. Peut ont mélanger la politique et la religion ?  Comme nous l’indique ‘’David Frum’’ dans son livre ‘’Le président Bush et la rhétorique de l'axe du mal’’, qui retrace l’évolution de Bush et d’un méprit face à l’Islam ou bien d’une certaine arrogance sur un peuple ou une nation ?  La religion doit-elle être la réponse au mal d’une société en crise ou à la recherche d’une idéologie. Je prendrais comme exemple, la France, qui en 1903, a décidé de la séparation entre l’état et le clergé. Depuis plusieurs années, nous voyous à travers les conflits mondiaux et les tumultes des sociétés, une monté du fanatisme religieux, des idéologies et de l’intégrisme. De par l’évolution des trois plus grandes religions monothéistes, un sentiment de réconfort ou une forme de surenchère des religions. D’un autre côté, nous devrions mettre l’accent sur la personnalité de Georges W. Bush. L’horreur des attentats du 11 Septembre 2001, a sorti instantanément les américains de leur isolationnisme habituel et leur Président n’eut aucun mal à arracher l’accord du Congrès pour l’invasion de l’Irak. La difficulté et dont l’équipe présidentielle a dut soigner son discourt. La décision de renverser Saddam Hussein fut prise au lendemain des attentats du 11 septembre 2001. Dans les années 80, la presse américaine dénonçait le danger qu’il représentait. Cependant, comment contrer les arguments des opposants à la première guerre préventive de l’histoire récente. Le président George W. Bush parvint pourtant très rapidement à convaincre la majorité des Américains. Ce ralliement derrière le ‘’Président’’ après le traumatisme des attentats est compréhensible, et l’on peut imaginer qu’il aurait été aussi fort avec n’importe quel président. Toutefois, on peut également penser qu’il existe un facteur supplémentaire qui décuple l’empathie de la majorité des citoyens avec le président George W. Bush. Président non élu par le vote populaire et médiocrement apprécié avant le 11 Septembre. Celui-ci sut adopter le ton prophétique qui sied à l’Amérique, et parler à ses concitoyens le même langage qu’une grande partie d’entre eux entendait depuis toujours dans leurs églises. Ainsi, il transforma cette intervention en une croisade des forces du bien contre les forces du mal. Pour la première fois de manière explicite, lors du message sur l’état de l’Union de janvier 2002, discours aux nombreuses références religieuses. Les américains allaient retenir une expression étrange, ‘’l’axe du mal’’, laquelle désignait désormais les pays accusés d’avoir aidé les groupes terroristes et les islamistes en général, c’est-à-dire l’Irak, l’Iran et les pays de Moyen Orient, constituent un axe du mal. S’armant pour menacer la paix du monde, le président George W. Bush, fit de cette rhétorique un argument pour semer les fleurs du mal. Toutefois, Le discours revint annoté de la main de Bush, qui en acceptait toutes les implications. Nous avons donc ici l’origine historique précise de l’expression ‘’axe du mal’’. Néanmoins, si elle a autant marqué les esprits des américains, c’est parce qu’elle correspondait à un archétype de la rhétorique politique et religieuse américaine, la croyance en la division morale binaire du monde. C’est exactement pour cette même raison que ce discours a choqué le monde, où depuis fort longtemps il est inconcevable qu’un chef d’Etat puisse utiliser des arguments religieux. Alors nous retrouvons ce même discourt de la part de D. Trump, qui ce referre a la peur de l’étranger et de surenchérir les discours de l’église américaine.

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