Référendum catalan

Le référendum a eu lieu le dimanche 1 octobre en Catalogne. Alors que le premier ministre du gouvernement de madrid continue à réfuter la légalité du scrutin, le gouverneur de catalogne Carles Puigdemon continue à soutenir le referendum d'indépendance et va voter.

Dans la journée du dimanche, Madrid envoie des forces spéciales de police sont envoyées dans les bureaux de vote catalans pour saisir le matériel de vote, les urnes et empêcher les catalans de voter, ce que Carles Puigdemon qualifie « d'opération de répression ». Ces interventions deviennent rapidement très violentes et Carles Puigdemon exige le retrait des forces policières.

Lundi 2 octobre, le haut commissaire de l'ONU zeid ra'ad Al Hussein, demande à ce que des enquêtes impartiales soient menées sur tous les actes de violences survenus durant la journée du dimanche. Ainsi, Carles Puigdemon annonce la création d'une commission spéciale pour enquêter sur les abus des forces de polices qui ont provoqué près de 900 blessés et demande une médiation internationale supervisée par l'UE entre Barcelone et Madrid.

Le même jour, le ministre de la justice Rafael Catala annonce que l’État espagnol fera tout ce que permet la loi pour empêcher une proclamation d'indépendance de la catalogne, indépendance acceptée par plus de 90 % des voix recueillies. (57,6 % d'abstention). L’État est en effet en mesure de prendre contrôle de la Catalogne par le biais de l'article 155 de la Constitution qui permet au gouvernement central de prendre la direction d'une communauté autonome en cas de non-respect de la Constitution ou d'atteinte grave à l'intérêt général. 
Dans la journée du lundi, des appels à la grève sont lancés en Catalogne pour la journée du mardi.

El referéndum tuvo lugar el domingo 1 de octubre en Cataluña.

Mientras el primer ministro del gobierno de Madrid continúa refutando la legalidad de la elección, el gobernador catalán Carles Puigdemon sigue apoyando el referéndum de independencia y vota.

El referendum promovido por el gobierno de Cataluña viola la Constitución de 1978 que establece que Espana es indivisible 

En el día del domingo, Madrid envía las fuerzas policiales especiales que son enviadas a las mesas de votación catalanas para apoderarse del equipo de votación, las urnas y evitar que los catalanes voten, lo que Carles Puigdemon llama "una operación de represión". Estas intervenciones rápidamente se vuelven muy violentas y Carles Puigdemon exige la retirada de las fuerzas policiales. Domingo por la mañana, una multitud de personas esperaran delante de los centras de votacion.

Los policios empujan, amporrean y tiran balas de caucho para dispersar y hacer huyr a la gente.

El lunes 2 de octubre, el Alto Comisionado de las Naciones Unidas, zeid ra'ad Al Hussein, pidió que se lleven a cabo investigaciones imparciales sobre todos los actos de violencia ocurridos el domingo. Por ejemplo, Carig Puigdemon anunció la creación de una comisión especial para investigar los abusos de las fuerzas policiales, lo que resultó en casi 900 heridos y pidió una mediación internacional liderada por la UE entre Barcelona y Madrid.

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