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Problèmes de philosophie, Bertrand Russell

Analyse sectorielle : Problèmes de philosophie, Bertrand Russell. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  8 Octobre 2014  •  Analyse sectorielle  •  476 Mots (2 Pages)  •  1 947 Vues

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prive de liberté. Les « objets habituels ne lui posent aucune questions », cet individus considère tout comme aquis, comme « évident ». Tout ce qui pourrait lui

poser problème ou quil'entrainerai à se poser des questions est évité et « dédaigneusement rejeté », tout ce qu'il ne connait pas est évincé; cet individu n'a qu'une vision réduite, simplisme du monde.

L'auteur désigne cetindividu par « celui », ce terme marque une différence entre l'auteur et cet individu. Bertrand Russell rejette l'individu qu'il décrit, il n'est pas en accord avec sa façon d'etre, d'évoluer, avec le faiteque l'individu ne philosophe pas. Le mot « celui » à donc une connotation péjorative, qui montre au lecteur que l'auteur est en désaccord avec l'individu décrit.

Ensuite, L'auteur utilise le« nous », il expose donc sa thèse, il s'inclu dans un groupe de personne qui « philosophent », c'est à dire qui se posent des questions, qui se confrontent à la réflexion, et qui ne considère

Philosophie – DM1

→ Problèmes de Philosophie, Bertrand Russell.

Dégagez le mouvement du texte : Les différentes parties, leur contenu, comment elle s'articulent, la logique d'ensemble.Dans ce texte, Problèmes Philosophiques, Bertrand Russell, donne son idée concernant la valeur de la philosophie, vis à vis de ce qu'elle apporte à une individu. L'auteur utilise une logique structuréepour expliquer son point de vu, c'est pourquoi le texte est divisé en plusieurs parties.

L'auteur débute son texte en introduisant, selon son point de vue, une valeur de la philosophie; Pour lui lavaleur de la Philosophie se trouve dans son incertitude. ... C'est à dire que l'incertitude, le questionnement, l'act de penser, de réfléchir conduit à une valeur de la Philosophie.

BertrandRussell, expose ensuite sa seconde idée. Il évoque un individu n'ayant « aucune teinture de la philosophie », c'est à dire aucune notion de la philosophie. Cet individu est « emprisonné par lespréjugés », il se prive de liberté. Les « objets habituels ne lui posent aucune questions », cet individus considère tout comme aquis, comme « évident ». Tout ce qui pourrait lui

poser problème ou quil'entrainerai à se poser des questions est évité et « dédaigneusement rejeté », tout ce qu'il ne connait pas est évincé; cet individu n'a qu'une vision réduite, simplisme du monde.

L'auteur désigne cetindividu par « celui », ce terme marque une différence entre l'auteur et cet individu. Bertrand Russell rejette l'individu qu'il décrit, il n'est pas en accord avec sa façon d'etre, d'évoluer, avec le faiteque l'individu ne philosophe pas. Le mot « celui » à donc une connotation péjorative, qui montre au lecteur que l'auteur est en désaccord avec l'individu décrit.

Ensuite, L'auteur utilise le« nous », il expose donc sa thèse, il s'inclu dans un groupe de personne qui « philosophent », c'est à dire qui se posent des questions, qui se confrontent à la réflexion, et qui ne considère pas... [à continuer]

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