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La ville est-elle un lieu propice à la violence ?

Dissertation : La ville est-elle un lieu propice à la violence ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Août 2019  •  Dissertation  •  678 Mots (3 Pages)  •  1 117 Vues

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Saukaïna

Fikri

Introduction :

Le thème est la ville.

Tout d’abord il parait évident de rappeler qu’est-ce la ville, la ville est une agglomération relativement importante et dont les habitants ont des activités professionnelles diversifiées. Il faut savoir que chaque individu perçoit la ville de différente manière. Certains trouveront que la ville es un lieu d’épanouissement et d’autres de violence pour cela nous allons étudier cela

La problématique est la suivante : la ville est un lieu propice à la violence ?

Thèse 1 : Oui, la ville est un lieu propice à la violence

Argument 1 : La ville génère de l’exclusion et de la discrimination ce qui provoque de la violence chez l’homme

D’après Alain Cambier, il traduit la violence de la ville en utilisant des termes forts ; « délinquance », « incivilité », « brutal » des termes effrayant qui renvoie à l’idée d’animal et de monstre « faune hybride »

Il dénonce la mutation qu’engendre la ville sur l’être humain faisant de lui un être qui se métamorphose.

Il utilise le champ lexical l’exclusion : « dispersion », « SDF », « chômeur », « discrimination »

 

Argument 2 (exemple personnel) :

Cet argument peut être interpellé par la musique Starmania, « Quand on arrive en ville », « « quand on arrive en ville tout le monde change de trottoir, On n’a pas l'air virils. Mais on fait peur à voir ».On peut interpréter la ville comme dangereuse à cause de certaines personnes. Mais également, tout simplement le samedi soir en sortant de soirée certaines ayant consommé de l’alcool peuvent être dangereuse. C’est donc la ville en elle-même qui est définit comme propice à la violence car ce genre de chose ne peut arriver dans une petite ville de campagne ouuu il n’y a aucun bar

Argument 3 (exemple personnel) :

Cette violence, est dénoncée également par un artiste musical portant le nom de Kopp Johnson.

Cette chanson interpelle les jeunes de France depuis plusieurs mois à se révolter contre le pouvoir, qui agissent sur les mobiliers urbains, les institutions. Cette  chanson s’accentue sur des termes économique : « cotiser », taxes », « payé », « trop cher »

Thèse 2 : Non, la ville n’est pas un lieu propice à la violence

Argument 1 : la ville permet d’être libre

Pour l’auteur du texte : «  la ville est un refuge », « un havre de paix ». Il emploi pour le qualifier des termes mélioratifs « affranchissement », « liberté ». Depuis toujours, la ville est devenue un asile car c’est un lieu de liberté. Ainsi au Moyen Age, les serfs pouvaient acquérir le statut de citoyen libre.

Argument 2 (exemple personnel) :

Je vais illustrer cette exemple de liberté en prenant appuie  sur une huile sur toile réalisé par Eugène Delacroix  « la liberté  guidant  le peuple » qui a pour but de montrer la révolution qui se fait au nom de la liberté, elles rassemblent toutes les catégories sociales et qui ont gagné le combat.

Argument 3 (exemple personnel) :

La ville peut-être propice de liberté pour les jeunes. La ville peut avoir un effet d’euphorie, de laisser aller, de sentiment de puissance et de liberté face au monde une fois avec une bande d’amis pour passer une bonne soirée en ville. Pour cet argument je prendrais l’extrait de la musique de Bigflo et Oli « comme dhab », « j’les appelle tous comme dhab », « on sort en ville », »besoin d’air libre », « notre soirée repose sur les épaules du pote qu’à le permis, à cinq dans une voiture pourrie, on s’imagine dans une Ferrari ». Cette musique illustre tout à fait les envies, l’amusement  et l’enthousiasme des jeunes lorsqu’ils sortent en ville entre amis.

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