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La Liberté John Stuart Mill

Fiche : La Liberté John Stuart Mill. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Mai 2013  •  Fiche  •  661 Mots (3 Pages)  •  1 695 Vues

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De la liberté.

John Stuart Mill

Chapitre 2

La liberté:

John Stuart Mill commence son chapitre «  De la liberté de pensée et de discussion » par sa définition de la liberté. Il pose, dés les premières lignes sa notion de liberté et plus particulièrement sa notion de liberté d'expression. Cette autonomie est quelque chose d'acquis par l'homme, encrée dans les mœurs du gouvernements. Le peuple est libre de s'exprimer, d'avoir sa propre opinion. L'expression passe donc par la liberté d'opinion, qui est importante dans l'entente d'un peuple et de son gouvernement. Néanmoins, M Stuart Mill juge bon que l'harmonie entre ces deux sujets soit égale et que le gouvernement n'entrave pas la liberté du peuple. S'il prend la liberté d'opinion au peuple, cela lui sera néfaste puisque tout avis est important pour connaître le vrai du faux. Le point de vue d'une communauté doit se confronter à celle du gouvernement pour faire grandir la société, la faire évoluer. Le faite d'interdire tout sorte de propagande, de publicité, d'opinion ne permet en aucun cas de garantir infaillibilité de tels ou tels acte. Mill montre que, ce sont les idées fausses, une opinion pas toujours vrai qui fait avancer la discussion. Une opinion peut être vrai pour l'individu et fausse pour un autre mais c'est pas pour cela qu'il faut l'imposer parce que l'on juge qu'elle est bonne ou la bafouer. Si toute décision reste au mains de l'autorité, il ne peut avoir évolution de la société. Une confrontation d'opinion est essentielle pour « échanger l'erreur de la vérité ». C'est pour cela que l'État doit instaurer, garantir et préserver cette liberté d'opinion. John utilise divers exemple pour illustrer ce principe. Le plus représentatif est quand il parle de son ami Socrate. Il fut mise a mort juste parce qu'il ne croyait pas en un Dieux et qu'il était différent des autres. Si on l'applique à un individu, autre que Socrate, cela veut dire que si on ne correspond pas à un certain critère bien définie, on risque la mort. A travers cette exemple, il montre que la confrontation des idées et des opinions peut éviter tous ces actes inutiles. De ce fait, on peut savoir le vrai du faux, juste par simples échanges entre les individus et le gouvernement qui prend les décisions.

La religion:

Après avoir élaboré sa thèse sur la liberté d'expression, John Stuart Mill fait un lien entre la religion et la liberté d'opinion. Il décide d'échafauder sa doctrine sur le thème de « la croyance en un dieu et en une vie future ». Le faite de croire en un Dieux supérieur permettrais à des hommes d'instaurer des règles, des opinions qui ne remettent pas en jeux l'infaillibilité. L'idée de Dieux ouvre des possibilités de vie en dépit de l'absurde et de l'injustifiable. Il illustre ceci par des exemples concrets. Le philosophe Socrate fut tué car il ne croyait pas en une religion et parce qu'il était le « corrupteur de la jeunesse ». La religion est caractérisée de juste quand les avis sont infaillible, mais

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