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L'existentialisme Est Un Humanisme

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Par   •  12 Février 2013  •  914 Mots (4 Pages)  •  1 426 Vues

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L’existentialisme est un humanisme est compte rendu d’un discours fait à une conférence faite par Sartre le 29 octobre 1945.

Ce livre est une introduction à la philosophie existentialiste sartrienne. En effet, Sartres est le chef du mouvement existentialiste du 20ème siècle.

Le mouvement existentialiste est un courant philosophique qui place à pour coeur de réfléxion l’existence individelle, la liberté, le choix personnels et la subjectivité.

Sartres est né en 1905 à Paris dans un milieu bourgeois et cultivé. En 1929, il sera diplomé de l’école normal supérieur et obtient son agrégation de philosophie. Lors de la seconde guerre mondiale, en 1940, il est fait prisonnier par les Allemands et s’enfuira peu de temps après.

Le philosophe se tournera alors vers le théâtre pour exprimer son engagement et publiera Les Mouches et L’être et le néant.

A la Libération, il fonde un journal Les Temps modernes et expose sa théorie de l’existentialisme qui connait un vrai succès. Pour lui, un intellectuel se doit d’être engagé, ceci explique donc son rapprochement du Parti communiste à partir de 1950 et son soutient, pendant la guerre d’Algérie, aux indépendantistes du Front de Libértation National. Aussi, il participera a la révolution estudiantine de mai 1968.

Jean Paul Sartres fut un philosophe, écrivain, journaliste, intellectuel modèle, engagé qui a influencé sa génétation et celle qui a suivi. Il a marqué les esprits en illustant sa philosophie par ses pensées. Ces pensées et ses engagements sociaux et politique sont indisociables. Cet homme a été important dans la dimension philosophique, littéraire ainsi que politique.

Dans ce discours, Sartre se défend contre les critiques faites à sa conception de l’homme dans L’Être et le Néant, et Les Chemins de la liberté. Les gens critique cette capacité exposé chez Sartre: les hommes lâches peuvent devenir des héros, et inversement. Pour les gens, c’est inscrit dans une nature humaine d’être un héros ou un lâche.

Dans la première partie du texte, Sartre explique donc le reproche que l’on fait à sa thèse: l’homme se définit par ses actes. L’homme existe donc puis se définit, il n’est pas préconçue comme étant ce qu’il est, il se crée selon ses agirs c’est en cela que l’homme détient une liberté.

Mais pourquoi les hommes refusent-ils cette liberté et se complaisent-ils dans une mauvaise foi ?

Ensuite, Sartre donne une explication d’ordre psychologique: il est plus tranquille de penser que nos actes ne peuvent lutter contre notre nature car les hommes ne se sentent pas responsables de leurs actes. La responsabilité implique donc un sujet moral, être responsable c’est être libre. Si un homme se comporte comme un lâche il aura tendance à se cacher derrière un déterminisme qui le programmerait à l’avance.

C’est le principe de la mauvaise foi: se croire déterminés par une nature humaine, de façon innées et qui permet d’apaisser les consciences, et morales.

Malgré les critiques, Sartre conserve sa thèse: “En l’Homme, l’existence précède l’essence”: l’homme se définit alors par ses actes et n’est pas le résultat d’un

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