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Monstre

Résumé : Monstre. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Avril 2022  •  Résumé  •  1 887 Mots (8 Pages)  •  248 Vues

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                                                                        Disserte Français Monstruosité

La monstruosité, une forme à visages multiples. Pour bien comprendre la monstruosité, nous commencerons par la définir, ensuite nous donnerons des exemples pour l’illustrer. Mais nous pouvons déjà nous poser la question, Quelles sont les figures monstrueuses à notre époque ? comment sont-elles illustrer ? Nous allons essayer de contextualiser cela à travers ce travail. Le monstre est un terme utilisé dans tous les contextes. Ce n’est plus un mot sujet a une forte gravité comme cela était le cas dans le passé, Dans la culture populaire, le monstre a de nombreuses définitions, que ce soit au cinéma, dans la littérature ou encore dans l’histoire. De plus, ce travail permettra de répondre à la problématique suivante : en quoi la figure de la monstruosité permet-elle a l’homme de se questionner sur son humanité ?

Chacun a une définition du monstre qui lui est propre. Que ce soit une entité monstrueuse de sa jeunesse qui est restée ancrée dans son esprit (un parent, un membre de la famille, un proche ou autre). Que ce soit un personnage de film, de dessin animé qui nous as marqué. Que ce soit un monstre de légendes urbaines (croque mitaine et autre) ou encore un monstre issu de la littérature. Nous pourrons même associer les monstres a des personnages historiques à la suite de leurs actes (Adolf Hitler, Jack l’éventreur ou encore Staline.) En sachant qu’à la toute base, le monstre était associé à une figure de chaos, que ce soit dans la mythologie, dans la littérature ou autre. Donc celui qui, actuellement définis la monstruosité, c’est le peuple. C’est lui qui définit une entité comme monstrueuse. Et à présent, le terme « monstre » est utilisé dans tout types de situations, que ce soit l’homme qui bat, l’assassin, le violeur ou encore une personne raciste. Mais le peuple évolue au fil du temps, et donc le monstre aussi ; un monstre au 18ème siècle n’est plus le même monstre au qu’au 21ème. Ce qui permet donc au peuple de juger de la monstruosité d’un individu, c’est l’apparence (un vecteur de monstruosité très présent a l’époque, avec les pestiférés, les malformations et autres maladies.) et les actes (un tueur, un violeur, a l’époque, une sorcière, etc…).  Donc nous pouvons dire que, de nos jours, c’est la culture populaire qui a définit la figure de la monstruosité et qui lui a attribué des personnages ou des entités en tous genres.

Mais le monstre n’est pas toujours détesté par les lecteurs et les téléspectateurs. Par exemple, dans les dessins animés tels que Monstre et Cie, le monstre est présenté comme effrayant, ayant même pour travail d’effrayer en boucle les enfants. Mais au fur et a mesure du film, les monstres sont présentés comme faibles et en réalité sensibles. Le spectateur se lie alors de compassion avec ces deux monstres qui sont les personnages principaux du dessin animé. Mais je pense en fait que ce dessin animé a un but plus profond que cela ; enseigner aux enfants ce qu’est la réelle monstruosité. Car en effet, la ville de monstre n’est que constituée de monstres. Ce ne sont que des monstres « visuels » car ils ne sont affreux qu’en apparence. Tandis que l’ennemi dans le film est affreux intérieurement. Il est malfaisant et tente de nuire aux personnages principaux avec son projet de machine à crier… Donc ce que nous pouvons en tirer de ce message, c’est que les monstres ne sont pas que physiques, et que les enfants doivent apprendre à ne pas mépriser les autres humains différents d’eux. Car à une époque, l’humain différent est présenté comme monstrueux comme avec Eléphant Man par exemple. Il y a aussi de nombreux moments dans Mme Bovary, ou Emma a des pensées monstrueuses et hésite à y succomber. Mais finalement elle y renonce, ce qui fait que le lecteur l’apprécie d’autant plus.

Et pour clore cette catégorie, nous allons parler de la description du monstre. Car en effet, c’est en le décrivant que l’ont créé de la haine envers le lecteur. Nous pouvons illustrer cela avec les multiples exemples historiques : les loups. Pour que les bergers puissent continuer d’effectuer leur travail, ils ont diabolisé les loups, créant le mythe du monstre mangeur d’enfant. Dans cette situation, nous retrouvons la phase de description qui crée le monstre et qui le cultive dans les esprits. Cette diabolisation a menée ensuite à l’extermination en masse des loups en campagne… Nous retrouvons la même chose dans le cinéma. Les réalisateurs de films de requins par exemple créent un monstre hors du commun en le représentant comme grand, dangereux et agressif. Quantité de personnes ont été traumatisées de retourner dans l’eau nager, après avoir vu les dents de la mer. Alors que les requins devraient avoir plus peur de nous, que nous d’eux ; 100 Millions de requins sont tués par l’homme chaque année. Et le nombre d’homme qui sont tués par les requins ? 5 humains sont tués environ par an a cause des requins. Les moustiques et les hippopotames sont plus tueurs… Donc Nous pouvons dire que la description qui est faite du monstre, permet d’influencer les esprits vis-à-vis de ces derniers.

Sous les différents points de vue, les monstres sont plus ou moins horribles. Et les monstres en eux-mêmes sont « classés » dans différentes catégories… Pour commencer, le monstre par l’apparence. Le monstre par l’apparence a longtemps été la seule définition du monstre comme avec les vampires, les cyclopes, le monstre du loch ness, ou encore le minotaure. Ces monstres cis sont connus pour faire « peur », avoir un physique repoussant ou un comportement dangereux. Et chacune des entités citées au-dessus sont toutes connues pour les assassinats qu’elles auraient faits, et les autres légendes et contes… L’autre exemple avec le zombie, qui a même crée tout un courant de réalisation et d’écriture autours de lui avec les livres et films postapocalyptiques. Le zombie a tout un culte autours de lui, avec tous les films le représentant comme mi vivant-mi mort. C’est donc une créature uniquement monstrueuse par le physique car a moitié déchiquetée, saignant de partout et ayant une figure très caractéristique. Le zombie est souvent représenté comme bête, lent et peu réactif, permettant de faire triompher les personnages principaux dans la plupart des situations. Tandis que, maintenant, la plupart des productions de films et livres de zombies sont plus tournés vers des monstres rapides, intelligents et cohérents entre eux comme dans les films Army of the Dead ou encore je suis une légende…

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