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Biographie de Giovanni Pannini

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Par   •  11 Janvier 2018  •  Dissertation  •  3 104 Mots (13 Pages)  •  981 Vues

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 Giovanni Paolo Pannini

1691 – 1765.

[pic 1]

“Galerie de vues de la Rome Antique”.

1758

Huile sur toile, H. 2,31 ; L. 3,03.

Paris, Musée du Louvre.

Panini fut un des plus importantes peintres et architectes du XVIII siècle. Il est ne en 1691 a Piacenza. On suppose qu’il étudia les tableaux de Ferdinand Bibiena, Andrea Paluzzi et Guiseppe Natali, et peut-être même travail avec ces artistes. En 1711 il déménage a Rome ou il travaille avec Benedetto Luti et acquit une grande habileté dans le dessin figuratif. Panini travaillait des tableau de petit format scènes religieux et historiques. «vedute» architecturales , imaginaires ou faites d’apres nature. Ce que va nous intéresse c’est ces peintures «vedute» , on sent l’influence évident de Locatelli et de Van Wittel.

La France accordent beaucoup d’importance a Panini , allant jusqu’a le considérer comme un compatriote en le nommant a l’Académie Française. Le Marquis de Stanville et le Cardinal de Polignac furent ses meilleurs clients: ils lui commanderont des «vendute» de Rome et des représentations d’evenements historique er de cérémonies.

En tant que premier paysagiste historique de Rome le plus important du 18ème siècle, Pannini aime bien regrouper les différents canons de l’architecture romaine dans le même tableau, montrant une vue magnifique et toujours spectaculaire.

En 1749, Panini execute la première toile de ses «Gallerie», pour Silvio Valente Gonzaga( Wadworth). Elle lui servit la modele pour peindre les «vedute» de Rome antique et moderne qui remportèrent un succès extraordinaire. Ses œuvres les plus célèbres sont des peintures des ruines de Rome dans lesquelles il fait preuve d’une riche imagination.

Galerie de vues de la Rome antique est un tableau peint par Giovanni Paolo Panini. Ce tableau est une commande de l’abbé de Cavillac, François-Claude de Montboissier. Il est conservé au Louvre depuis 1944 et c’est un don de la princesse de Polignac. Ce tableau est le 3ème et dernier de la série Galerie de vues de Rome Antique du même peintre.

 

Donc on va se demander comment cette peinture a fait de l’artiste le maitre des «vedute» architecturales et quelles aspects avaient développé en lui le «peintre des ruines» ?

I.Connaitre l’Antique c’est avoir un bon gout dans l’art.

 a.Secret de traditions classiques.

 b. L’Academie de France a Rome.

II.L’ensemble des chef d’euvres antique dans un seul tableau.

 a.Description général de tableau.

 b. Maitre de la perspective

III.Peintre de «vedute» qui a influence le plus l’art de XVIII siècle.

 a. «Vedute»

 b. Hommage manifeste a Pannini

 

I.

L’Antique s’est donc sauve au siècle de la critique et de la raison en se présentant nom comme dépôt de la vérité , mais comme éducateur de la norme universelle de bon gout dans les arts. Rome c’est Musee de l’Europe, capitale incontestées de l’art européen. Rome détient fidèlement le secret de la tradition classique. La Rome du XVIII siècle a mise sur la mémoire européenne de la drome antique et sur les activités qu’elle fait vivre de cette mémoire: les arts les artistes, les divers formes de haut artisanat, du commerce de luxe, de la librairie, du collectionnisme de l’éducation du gout.

L’Antique est devenue fecond, comme le veulent la Nature et Aristocrate. Rome ou l’Antique est retrouve , conserve, etudie représente et imite au titre de maillot indispensable dans la chaine, toujours renouvelée , de l’engendrement artistique moderne, ne manque au XVIII siècle ni de grands peintres-Subeleyras, Batoni, et Panini qui émerveillent l’Europe.

L’antiquate sortie des livres et devenue paysage pour ces peintres et pour Panini tout partiellement.

Conséquence et non pas cause de cet appétit de visibilité; «voir d’appropriation vampirique « pour le monde classique : les fouilles d’Herculanum. Apres les grands découverts d’Herculanum, Pompei et stables , intervint pour la gloire de Naples et l’allongement du Grand Tour , la découverte de l’ancienne Grande Grece , les temples doriques, de Paestum, de Segeste, d’Agrégeante, de la Cathedrale de Syracuse, beaucoup plus déconcertants que l’hellénisme tardif et romanise des cites voisines Vésuve.

Connaitre Rome avait été chez les peintres français du XVII siècle un dessole passions, qu’avait comble chez les plus meritants d’entre eux la création en 1666 de l’Académie de France a Rome. La génération suivant avait découvert la peinture romain de «vedute» dont le chef de file était alors Gaspar Van Wittel.

L’influence du paysages nordiques avait eu d’ailiers ses propagateurs parisiens. La colonie flamande et néerlandaise était nombreuse a Paris ou elle jouissait de l’estime de la Couronne, pour laquelle elle travaillait. C’est tout a fait naturellement que la nouvelle école française allait subir l’influence italienne. A Van Wittel et a ses «vedute» succédèrent Panini et ses «ruines» de tendance baroque. Panini devait se lier étroitement a Nicolas Wleughels dont il épousa l soeur. Les meilleurs artistes français s’ouvrent a l’influence italien et elle doit être d’autant plus forte que l’Académie a la mort de Wlwughels et dans son désir de voir renaitre la peinture de paysage historique, envisagea quelques temps la nomination de Panini au poste de directeur d’Académie de France a Rome.

Il y avait un attirance des fouilles italiennes va provoquer une découverte autre que celle d’antiques objets : celle d’un paysage , d’une architecture naturelle. Les peintres ont était attire par les sensationnelles découverts d’Herculanum.

Le peintre Hubert Robert prend sa suite dans l’admiration de Piranese, il se fait aussi l’élève enthousiaste du grand Panini, mais il se garda en peignant les ruines antiques, d’en faire le pretexte aussi bien a épurés ambitieuses qu’a méditation préromantiques. Il ne voulait ni s’apitoyer sur un passe mort, ni reconstitue une vue disparue. Il considéra l»antique comme une sorte de décor lumineux a l’intérieur duquel doit s’inscrire la vie présente , quotidienne et familiere. «L’Antique pour lui comme une racine de la plainte humaine; ce ne sont pas des ruines qu’il a peintes , mais des fleurs du sol latin.»

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