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Pascal, Le moi

Commentaire de texte : Pascal, Le moi. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Décembre 2020  •  Commentaire de texte  •  755 Mots (4 Pages)  •  438 Vues

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Commentaire philo Pascal, le moi

Blaise Pascal, né le 19 juin 1623 à Clermont (aujourd'hui Clermont-Ferrand) en Auvergne et mort le 19 août 1662 à Paris, est un mathématicien, physicien, inventeur, philosophie, moraliste et théologien français, nous allons étudier un extrait de son livre intitulé “Pensées” paru en 1970, il y présente certaines de ses réflexions et notes de lectures.

L’extrait commence par « qu’est-ce que le moi ? », on comprend tout de suite que l’on va parler de « moi », du soi-même, il s’interroge donc sur ce qui le définit.

Il prend ensuite l’exemple de l’homme qui observe, par sa fenêtre, les passant et que Pascal passe par là, il se demande s'il est là pour le voir lui. On peut a priori affirmer qu’il était destiné à l’observer, malgré tout, n’importe qui aurait pu se trouver à la place de Pascal au moment précis où il regarder dans sa direction ; De plus, la personne qui regarde par sa fenêtre observe pour voir les passant, or Pascal est un passant, donc il veut le voir, mais le problème c’est que cela aurait pu être n’importe qui. L’action de l’homme a son balcon aurait était accomplie, que soit Pascal ou qui que ce soit d’autres, il finira donc par répondre non à cette question.

Alors il parle de l’apparence physique d’une personne et du sentiment d’amour qu’elle peut causer et se pose donc une nouvelle question. Peut ton réellement aimer quelqu’un uniquement par sa beauté ou caractéristique physique ? Dans un certain sens, on peut supposer que oui car le physique constitue un paramètre important aux vues de la société actuel, mais au final notre physique reste éphémère, et ce malgré tous les effort possible, Pascal en arrivera à citer la vérole. Il dit donc que cette vérole tue la beauté mais sans le tuer ce qui rend la possibilité d’un amour véritable car elle ne l’aimerait plus dès la beauté perdu.

Pour continuer, l’auteur évoque sa souvenance, sa conception des choses, son jugement ce qui définit son caractère et de ses manières. Il se demande donc s'il peut être aimé pour cela. Il répond alors négativement en mettant en cause la sénilité engendrer par la vieillesse qui fait que ces qualités vont elles aussi se dégrader et partir au fil du temps, sans compter l’esprit et la perception qui peuvent-être facilement altéré que ce soit par l’entourage ou les expériences de la vie. Donc la personne ne l’aimerait plus, ce qui fait qu’il n’y a toujours pas l’amour attendu.

Suite à toutes ces caractéristiques citées inutilisable pour critère de l’amour, Pascal demande où est le « moi ». S'il s’efface de partout avec le temps, le moi ne peut vraisemblablement jamais être moi aux vues des changement de personnalité, jugement ou beauté. Il résume alors tout son lui par deux choses : corps et âme « et comment aimer le corps ou l’âme, sinon pour ces qualités, qui ne sont point ce qui fait le moi » il dit donc que l’on ne peut aimer une personne pour des raisons car toutes ces raisons pour lesquelles on aime une personne se changent au fil du temps ce qui conduit a aimé une personne différente et qui ne sont donc plus

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