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La conscience et l'inconscient

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Par   •  9 Février 2018  •  Dissertation  •  985 Mots (4 Pages)  •  687 Vues

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Séance 3 (II.3) : La conscience et l’inconscient 

Objectif : Développer par le champ diabétique ce qui oppose et réuni les deux concepts.
Supports : « La conscience, une conscience inconsciente ? »
               -Freud p.48
               -Alain p.54
               -Husserl (texte annexe)

                                            Tout d’abord avant de disserter nous allons analyser les termes du sujet afin de mieux le comprendre : « Conscience » ici ce dit 2fois et une troisième avec l’inconscience de tel sorte que a c’celle-ci non seulement s’opposerait son contraire apporter par le préfixe négatif  « in » nous aurions donc ce qui est présent dans la lumière du savoir comme le dit son étiologie latine « cum scientia » avec « cience » et son contraire sans savoir, la question pose d’emblée une ambigüité qui semble dans son apparence logique, illogique, comment un savoir peut-il être non-savoir  ou pour le dire avec la conscience plus directement une lumière obscure. Ainsi donc le sens de la question le pousse à nous interroger sur le fondement même de ce que nous appelons conscience : Quel est-elle ?
En quoi consiste la conscience ? Comment savoir si l’on est conscient ?  D’où provient l’inconscient ?

                                             Une première analyse des termes donnée dans l’introduction nous a permis de savoir que la conscience est en relation avec la lumière intérieur qu’aurait le sujet de lui-même ou de quelques chose et de la lumière aussi extérieur qu’aurai se même sujet d’autre chose autrement dit l’idée de lumière renvoi ici a c’elle du sujet et de ce qu’il le concerne en propre comme ce qui le fondent mentalement : la conscience c’est voir que la je suis ou encore voir ce qui me pousse a agir, la conscience ce pose sur l’instinct et la nature et a trait a mes décisions propre ces décisions ce font depuis ce que je veux ou ce que je ne veux pas. Elle englobe donc ma position dans le temps et l’espace dans le monde, ce que l’Leibniz appelle le situs, le point de vue que j’ai et qu’un autre n’a pas, ce point de vue ce fait depuis un donné et un vouloir, un corps qui a ses instinct, sa nature, son mécanisme qui fait que je suis la mais donc je ne suis pas conscient de tous son fonctionnement intérieur : je respire, le sang circule en moi sans que je le veuille. Mon vouloir lui par contre m’insigne d’une manière particulière en me donnant ainsi ma singularité : je veux ou ne veux pas, j’agis ou reste immobile, et je perçois. Kant précise et renforce cette idée du sujet comme unité en nous apprenant qu’à chaque fois que je veux je vois que je veux et je vois que je vois que je veux j’ai conscience d’avoir conscience. En un mot, si je vois que j’ai conscience, je suis tout puissant et parfaitement sujet de mes perception puisque non seulement je perçois de mes sens, le chaud le froid et j’interprète en toute liberté et selon moi  ce que je perçois de ceci, de même je perçois un sentiment, l’amour/ la haine et j’interprète la encore ce sentiment a tel point que je peux le dépasser ou le réduire en tant que sujet pleins.


                                             Dans le moment précédent,  nous venons de voir que la conscience était la part du sujet dans ce qui me définie, et ce pouvoir qu’il a de ce définir. Nous allons essayer de nous interroger à présent sur ce qui constitue les éléments du jugement. Que juge-je ? Nous pouvons déjà répondre que tout jugement pour s’élaborer repose systématiquement sur des définitions connues que nous élaborons en composition ou en opposition avec d’autres. Le jugement construit des connaissances a partir d’autre connaissance, connaitre c’est répéter le connaitre. La connaissance ne peut produire que ce qui est déjà accepter au départ et donc d’embler reconnue. Tout ceci pour dire que mes décisions sont déjà prise par des éléments de conscience que je définie comme connu : je sais ce que je veux, j’ai peur et je sais pourquoi, je déteste quelqu’un et je sais pourquoi, j’aime quelqu’un et je sais encore pourquoi. Toute fois on le voit très bien le « je sais » et sous l’emprise aussitôt du ce que je crois savoir, en vérité si j’ai conscience cette conscience et parasite par la croyance que j’ai de cette même conscience interpréter c’est vouloir interpréter et donc orienter « Freud ».

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