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Éthique et enjeux

Étude de cas : Éthique et enjeux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Février 2019  •  Étude de cas  •  4 656 Mots (19 Pages)  •  462 Vues

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ADM 3028

Les enjeux éthiques, légaux et sociétaux
des TI

Travail noté 2

Feuille d’identité

NOM Lapierre        

PRÉNOM Émie        

NUMÉRO D’ÉTUDIANT 16337957        

TRIMESTRE Automne 2018        

ADRESSE 1525 rue Paradis        

                

CODE POSTAL J9X6E1        

TÉLÉPHONE DOMICILE         

TRAVAIL         

CELLULAIRE 819-277-7560        

COURRIEL lapierre.emie@univ.teluq.ca        

NOM DE LA PERSONNE TUTRICE Dragos Vieru        

DATE D’ENVOI 07 janvier 2019        

Réservé à l’usage de la personne tutrice

DATE DE RÉCEPTION         

DATE DE RETOUR         

NOTE         

[pic 1]

QUESTION 1- OUTRE GOOGLE, UNE AUTRE COMPAGNIE A ESSUYÉ DE NOMBREUSES CRITIQUES CONCERNANT SON LAXISME FACE À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DE SES USAGERS : FACEBOOK

  1. Faites une recherche sur internet pour trouver deux articles de journaux qui traitent d’une controverse sur le thème de la vie privée impliquant Facebook. Résumez le propos de ces articles.

Tout d’abord, dans l’article que nous avons retrouvé dans la Presse Canadienne, Facebook s’attaque à la protection de la vie privée, nous pouvons y comprendre que dans le passé le réseau Facebook n’était pas une source « fiable et protégée» pour les utilisateurs de ce site. Comme il est cité : «[…] une société de conseils associée au président Trump, Cambridge Analytica, avait obtenu des informations concernant quelque 50 millions d’abonnés de Facebook. Cela incluait des données concernant les amis de gens qui avaient téléchargé une application de test psychologique, même si ces amis n’avaient jamais consenti explicitement au partage»[1]. Suite à ce renseignement, l’une des personnes en charge de l’application Facebook a mentionné que la compagnie devrait faire mieux et s’améliorer sous ces conditions. De plus, elle mentionne que la compagnie Facebook est nul autre que l’ultime responsable d’empêcher une utilisation de la sorte, qu’elle qualifie d’imparfaite puisque pendant quelques années pour ne pas dire plusieurs l’application a recueilli des noms, des numéros de téléphone, des adresses de courriel et des historiques des appels et des textos de ceux qui utilisaient l’application d’Android. Aussi, nous ne savons toujours pas pourquoi la compagnie de Facebook avait besoin de ces informations.

Finalement, nous pouvons lire que certaines mesures sont et seront mises en place afin de donner un meilleur service de vie privée (renseignements privés) disponible sur leur plateforme. «Le responsable des produits chez Facebook, Chris Cox, dit que les nouveaux réglages ne représentent que «la première de plusieurs mesures» que la compagnie prendra pour calmer les inquiétudes»[2].

En ce qui concerne le deuxième article, Facebook n’est pas votre ami, Ariane Krol nous explique entre les lignes qu’en effet l’application Facebook n’est pas notre ami. «La plus récente controverse au sujet de Facebook rappelle à ses utilisateurs qu’ils ne sont pas des clients, seulement une marchandise que Facebook doit rendre la plus attrayante possible aux yeux des annonceurs»[3]. De plus, l’application suscite une attention particulière sur le fait qu’elle aurait contrôlé/manipuler les émotions des internautes à des fins de recherches.  En effet, en 2012 près de 700 000 utilisateurs de la version anglaise du site Facebook ont fréquenté une étude sans le savoir qu’ils faisaient sujet d’une expérience psychologique. «Certains abonnés voyaient moins de messages contenant  des émotions positives, d’autres moins de messages contenant des émotions négatives. Résultat? Leurs statuts se sont mis à refléter l’émotion dominante. Quant aux utilisateurs exposés à moins d’émotions positives ou négatives, ils sont eux-mêmes devenus moins expressifs »[4].

Les explications qui nous ont été données face à cette étude dont les «victimes» n’étaient pas au courant de celle-ci sont que : «La Politique d’utilisation des données, que tous les utilisateurs acceptent avant de créer un compte sur Facebook, constitue un consentement éclairé à cette recherche»[5].  En effet, la Politique d’utilisation de cette application dit bel et bien qu’ils ont droit d’utiliser les informations de l’abonné pour différentes raisons, différentes fins, dont la recherche. Mais la question est, combien d’entre nous avons lus cette politique d’utilisation? C’est pourquoi nous ne pouvons confirmer qu’il ne s’agit d’une atteinte à la vie privée puisque les utilisateurs en s’inscrivant sur le site consentent à ce que l’application utilise les données telles que mentionnées dans la Politique d’utilisation. Par contre, lorsque Facebook désire faire une recherche, une étude, les sujets doivent au moins savoir qu’ils participent à celle-ci.

  1. Google Street View a été l’objet d’une enquête de la part de Jennifer Stoddart, la commissaire à la protection de la vie privée du Canada. Faites une recherche sur Internet et résumez les reproches faits à Google Street View, puis les conclusions de l’enquête.

En ce qui concerne les deux textes que nous avons survolés, soit «Street View : Google a enfreint la loi, dit Jennifer Stoddart» ainsi que «Google Street View et vie privée : la commissaire Stoddart réprimande Google» nous avons pu y retrouver quelques reproches qui ont été faits à l’endroit de Google Street. Comme il nous est présenté dans les textes, nous pouvons nous rendre à l’évidence que cette facette de Google a su transgresser certains aspects de la vie privée de gens. Les courriels, des noms d’utilisateurs, des mots de passe, des numéros de téléphone et des adresses ont été dévoilés au grand jour. Les dirigeants de Google ou du moins les personnes qui s’occupent de Google Street View ont obtenu une panoplie de renseignement sur les gens de nature personnels et des renseignements tels que des courriels entiers. Nous sommes conscients que Google Street View n’a pas vu le jour afin d’avoir accès à ces informations précises. Par contre, Google plaide sa cause : «Google a reconnu que dans le cadre de sa collecte d’images des villes, des communications issues de réseaux sans-fils non sécurisés avaient été interceptées «par erreur» »[6].

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