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Travail de Session- Jean Coutu

Étude de cas : Travail de Session- Jean Coutu. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Avril 2018  •  Étude de cas  •  2 315 Mots (10 Pages)  •  1 326 Vues

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Travail de Session- Jean Coutu

Travail présenté à

M.Bernard Spetch

MET2100 – 640

Automne 2017

Travail réalisé par :

Marie-Ève Labelle

Marie-Claude Desjardins

Amélie Monette (MONA06569703)

Virginie Bélanger

Université du Québec à Montréal

Le 27 novembre 2017

Table des matières

Préambule sur le fonctionnement de l’équipe pour réaliser le travail. (1/2 page a 1 page max)

CONTENU DDPOC

  1. DÉCISION

Que ce soit pour opérer des changements, démarrer un projet ou bien de prévoir le budget d’une activité, les gestionnaires sont constamment obligés de faire des choix. En d’autres mots, ils doivent prendre des décisions. Une décision, selon Saive et al. [2017, page 130], « engage le passage de la conception à l’action, et réciproquement ». D’après l’approche formelle, on peut distinguer plusieurs types de décision dans une entreprise soit les décisions stratégiques, courantes ou opératoires et administratives ou tactiques.

  1. Les décisions stratégiques

Les décisions de type stratégique portent sur la formulation de la mission et de la vision de l’entreprise [Saive et al., 2017]. Pour le groupe Jean Coutu, les décisions stratégiques sont assurées par son siège social situé à Varennes. En fait, celui-ci est constitué de gens qui travaillent, la majorité du temps, à construire des tactiques et programmes sur le plan stratégique et sur l’impacts de ceux-ci sur l’organisation. Ainsi, ils travaillent à découvrir de nouveaux marchés à conquérir, aux lancements des produits et services novateurs, le positionnement et l’image de l’entreprise, les fournisseurs, les publicités et les promotions, etc. Dans les succursales, notamment à la succursale 58 de Terrebonne, c’est le comité de gérance c’est-à-dire les 2 propriétaires et le gérant de la pharmacie qui reçoivent les demandes du siège social et qui les exécutent.

  1. Les décisions courantes ou opératoires

Pour ce qui est des décisions courantes ou opératoires, il s’agit de décisions qui visent la réalisation des objectifs opérationnels [Saive et al., 2017]. Elles sont de nature locales et quotidiennes. Dans le Jean Coutu étudié, les décisions courantes concernent, par exemple, la composition des horaires en fonction des absences, l’emplacement des produits dans la succursale, comment les employés seront divisés, la mise en fonction des logiciels dans les ordinateurs ainsi que les caisses. En fait, ces décisions sont répétitives et prises au jour le jour étant donné qu’elles dépendent des circonstances du jour. Elles ne sont pas nécessairement importantes pour l’avenir à long terme de la compagnie mais elles restent primordiales dans le bon roulement de la succursale, et donc, de la satisfaction des clients. Les propriétaires délèguent ces activités aux subordonnés, généralement les chefs de départements. Malgré tout, les gestionnaires ne sont jamais bien loin et ils doivent approuver la majorité des actions posées. Concrètement, les subordonnés s’occupent des produits de plancher, leur emplacement et la rotation des produits.

  1. Les décisions administratives ou tactiques

Une décision administrative ou autrement appelée tactique visent en général à assurer l’adéquation dans l’organisation, les moyens disponibles et les buts stratégiques de l’entreprise. [Saive et al., 2017] Elles ont une incidence à moyen terme et concernent souvent les gestionnaires intermédiaires des fonctions de l’entreprise. En fait, ce type de décision découle des décisions stratégiques prises par le siège social, mais ce sont les propriétaires et gestionnaires qui doivent les assumer. À titre d’exemple, lorsque le siège social apporte de nouvelles idées ou de nouveaux projets, les franchises doivent opérer la succursale pour y installer la nouveauté. Les décisions administratives engendrent des activités de coordination c’est-à-dire qui demandent de suivre une procédure. En effet, pour passer une commande. Celles-ci peuvent être soient routinières ou de situations d’exceptions. La coordination routinière touche plutôt les activités quotidiennes, par exemple, les procédures pour construire un budget hebdomadaire. Tandis que la coordination de situation d’exception survient dans des situations spéciales et ponctuelles, par exemple, lorsqu’il y a un rabais dans la circulaire, mais qu’il n’apparaît pas en succursale, ce sont les gestionnaires qui devront gérer les clients mécontents. Ceux-ci sont les seuls à avoir le pouvoir de changer le prix d’un produit pour un client. Surtout, il ne faut pas oublier que la mission du Groupe Jean Coutu est d’assurer la satisfaction des clients. Ainsi, un autre exemple déjà arrivé à la succursale étudiée, comme les clients se plaignaient du manque d’espace dans la salle d’attente au laboratoire, les propriétaires ont décidés de faire les travaux nécessaires pour agrandir l’espace d’attente.

  1. DIRECTION

Dans le monde actuel ou le rythme se retrouve accéléré, selon Saive et al. [2017, p.150], « l’entreprise évolue de façon dynamique dans un environnement en continuelle transformation, la direction de l’entreprise vise à favoriser l’adhésion et l’action de tout un chacun envers les objectifs de l’organisation ».   Ainsi, la direction d’une organisation se doit de consolider des façons de faire et des plans qui favoriseront l’engagement de tous envers les objectifs stratégiques de celle-ci. La question est donc de savoir comment diriger pour préserver l’adhésion de tous à la destinée de l’entreprise et l’engagement à la participation aux décisions dans telle ou telle situation [Saive et al., 2017] ? Chez Jean Coutu, nous constatons la présence de trois composantes particulières prônées par les propriétaires : la satisfaction des employés, leur motivation ainsi que le leadership.  Néanmoins, bien que les gestionnaires soulignent faire beaucoup d’efforts pour motiver le personnel, la grande problématique de la succursale 0058 est le fort taux de roulement des employés des différents départements. Les méthodes mis de l’avant par les gestionnaires de la succursale ne font peut-être pas l’unanimité, c’est ce que nous verrons dans les prochains paragraphes.

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