Gestion de la PME et sa croissance MNG-1101

Différents sociologues ont défini l'individu hypermoderne comme individualiste, hédoniste et à la recherche perpétuelle de la singularité. C'est notamment le cas dans Lipovetsky, Aubert et Marchesney. Étant un enfant de « baby-boomers », je me reconnais totalement dans cette définition. Elle est représentative de ma génération, toujours a vouloir gérer notre temps, d’où le développement de l’école à distance, du télétravail. Nous les hypermodernes, nous aimons plus utiliser notre argent pour nous faire plaisir tout en essayant le plus possible de consommer de façon morale, écologique et biologique. Cette conscience environnementale donne ainsi émergence à un nouveau marché : produits biologique, du terroir (naissance de l’appellation « produit du Québec ») ou encore l’éco-tourisme pour ne citer que cela.

Cependant, il est vrai qu’il y a des différences régionales et que d’un endroit à un autre, le marché pour les individus hypermodernes est plus ou moins développé. Je vois par exemple la différence entre la France et le Québec. En France le marché est très développé. Par exemple en quelques clics vous faite votre épicerie sans même entrer dans le supermarché, alors qu'au Québec, le développement est moins rapide et ne commence seulement à ce faire connaitre que dans les dernières années, parce que la culture de proximité et de contacts sociaux et encore bien ancré dans les mœurs. D’une culture à une autre l’individu hypermoderne aura plus ou moins sa place, contraste fort entre une société moderne et très mondialisée, exemple la France et une société en voie de développement, exemple le Gabon.

...