Devoir 5 - D0068
Étude de cas : Devoir 5 - D0068. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gudumac.cristina • 11 Novembre 2022 • Étude de cas • 812 Mots (4 Pages) • 333 Vues
De telles situations sont souvent rencontrées de nos jours. Le débat sur la dimension collective ou individuelle de la gestion des collaborateurs existe depuis des decencies. Longtemps, les collaborateurs n’ont fait l'objet que d’une gestion collective. Ce mode de gestion est tout d’abord caractérisé par l'absence de différenciation entre les personnes. Peu importent leurs attentes, leurs contraintes, leur performance effective, tous les collaborateurs sont logés à la même enseigne. Ce qui revient à nier et à ignorer les différences dans les profils et dans les contributions apportées et peut avoir deux conséquences : d’une part développer un sentiment d’absence d’équité ; d’autre part faire subir à l'entreprise les conséquences du désengagement qui en résulte et l'empêcher de capitaliser sur ses atouts humains.
A mon avis, dans ce cas au niveau individuel Mme P. il a des problèmes personnels étant donné qu'il est sous soins psychiatriques , le deuxième point est qu'il est d'origine étrangère. Dans la dimension subjective et émotionnelle est formente présente (attitudes des collèges, réactions de Mme P.
Au niveau du groupe, plusieurs dimensions sont en jeu : les collègues, qui font des reproches à Mme P. Ilssemblent d'accord entre eux pour mettre à l'écart (dans une certaine mesure au moins) Mme P. Ce groupe a des habitudes et des normes sociales informelles qu'il entend voir respecter (plaisanter, se moquer des autres, ceux-ci devant accepter les plaisanteries) ; les représentants du personnel, qui jouent leur rôle de défense du salarié s'estimant « victime », et saisissent une opportunité juridique (la loi sur le harcèlement) pour qualifier les faits et s'opposer à la direction.
Le harcèlement au travail par des collègues est tout comportement qui, par son caractère systématique, peut porter atteinte à la dignité, à l'intégrité physique ou mentale , mettant en danger son travail ou dégradant le climat. Le harcèlement au travail est passible de sanctions disciplinaires, délictuelles ou pénales.
Concrètement, les salariés qui commettent des actes ou actes de harcèlement moral au travail s'exposent à des sanctions disciplinaires, dans les conditions prévues par la loi et le règlement intérieur de l'employeur. Cependant, la responsabilité disciplinaire ne supprime pas la responsabilité contraventionnelle ou pénale de l'employé pour les actes respectifs.
Mme P, victime de harcèlement moral au travail, doit prouver les éléments factuels du harcèlement moral, la charge de la preuve incombant à l'employeur.
Au niveau de l'organisation, certaines initiativessont prises pour tenter de régler le problem. L'entreprise doit déclarer clairement par écrit qu'elle s'engagel'engagement que le harcèlement et la persécution ne seront pas acceptés et qu'ilsa également stipulé que le but de la politique est d'éliminer ces comportements du lieupour le travail. La déclaration doit fournir clairement autant d'exemples de types que possiblede comportements qui seront qualifiés de harcèlement et de persécution. Il faudrait aussiidentifier les personnes à qui les membres du personnel peuvent signaler les incidents.L'entreprise devrait discuter de la politique avec les représentants des employés. De plus, il est constaté que la direction n'a pas usé à l'égard de Mme P. de pressions
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