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Etude sectorielle - le chocolat

Étude de cas : Etude sectorielle - le chocolat. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Juin 2020  •  Étude de cas  •  1 481 Mots (6 Pages)  •  508 Vues

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Contenu du 2nd jalon

  1. Quelles sont les recherches supplémentaires réalisées depuis le jalon 1, des sources d’informations sur le secteur ? Et qu’avez-vous appris ?

Dans ce deuxième jalon…

        Ainsi, j’ai depuis le jalon 1 réalisé de nombreuses recherches sur le secteur. En effet, je me suis intéressé de plus près au marché du chocolat afin d’en apprendre d’avantage sur le secteur, j’ai principalement lu de nombreux articles de journaux, des revus économiques notamment.
        Afin d’avoir conscience de l’état actuel du marché, j’ai effectué de nombreuses recherches sur le marché du chocolat en France, en 2019 et pour l’année 2020. Ainsi, la vente de chocolat était depuis 2018 légèrement en baisse due aux conditions climatiques défavorable ( canicule l’été), cependant, la consommation des ménages en produits de chocolaterie va se redresser d’ici 2020 puisqu’elle a déjà augmenté de 1% en 2019.  C’est également le segment des pâtes à tartiner qui va aider à la croissance de vente de chocolat, puisque celui-ci attire de nombreux acteurs tels que Mondelez (Patamilka), Galapagos (Gavottes), cherchant ainsi à concurrencer le leader Ferrero (Nutella).

        De plus, l’activité sera soutenue par la hausse des tarifs, puisqu’après plusieurs années de déflation, les prix d’usine sont à la hausse au premier semestre 2019 et cette tendance se poursuivra ainsi en 2020. Ainsi, de nombreuses entreprises ont largement investis ce qui a un impact positif sur l’activité, en effet, Mars a injecté 26M€ dans son site d’Haguenau situé en France, afin de rapatrier la production de différents produits jusqu’à présent fabriqués en Pologne. De même, Carambar&Co a installé deux nouvelles lignes de production de chocolat à Strasbourg.

        Ainsi, m’étant intéressé au marché global du chocolat, j’ai appris que l’export constituait l’un des principaux leviers de croissance pour les acteurs du secteur, qui réalisent près de 30% de leur chiffre d’affaires à l’étranger en moyenne. La demande internationale en produits de chocolaterie a d’ailleurs fortement augmenté ces dernières années, et les échanges mondiaux ont triplés depuis 2001. C’est grâce à des positions fortes sur les produits de grandes consommation, que les fabricants Polonais, Italiens et Allemands sont en première ligne pour bénéficier de cet essor, bien que les industriels de l’Hexagone ont encore de la manoeuvre s’ils parviennent à créer un savoir-faire unique sur certains segments du marché, par exemple le chocolat noir. J’ai pu observé qu’au-delà des géants du secteur, certaines PME française tentent de s’implanter à l’étranger, essaye de promouvoir le chocolat Made in France à l’international. Par exemple, l’entreprise Monbana, crée en 1934 vise l’expansion des Coffee shops aux Etats-Unis. Cependant, les exportations françaises peinent à décoller ces dernières années et j’ai pu constaté qu’il reste beaucoup à faire pour améliorer la pénétration des chocolats français sur les marchés internationaux, voire mondiaux.

        De plus, le cacao étant le principal intrant pour les fabricants de chocolat, je me suis également intéressé au cours du cacao puisque sont coût constitue un enjeu essentiel pour les industriels du secteur. Ainsi, en 2018, il a bondi de 15% suite à la décision du gouvernement ivoirien de réduire volontairement sa production. La principale récolte qui prenait donc place en Afrique de l’Ouest est terminée, laissant entrevoir d’importantes disponibilités pour les saisons à venir. Cependant, les industriels du chocolat cherchent à maîtriser leurs coûts d’approvisionnements, et les transformateurs de fève sont de plus en plus présent. Par exemple, Cémoi est présent en Côte d’Ivoire depuis 1996, le groupe a même crée il y a quelques années un programme nommé Transparence visant à former les cultivateurs locaux pour contrôler la préparation des fèves de cacaoyer. Pour ce qu’il est du sucre, intrant également essentiel pour les fabricants de produits chocolatiers, la chute des prix du sucre survenu en 2017 s’est poursuivie et continuera, à cause notamment des surplus de production.

Ainsi, j’ai pu constaté que les coût d’approvisionnement étaient globalement en baisse, tandis que les prix sortie d’usine était en hausse, ce qui permet aux fabricants de chocolats de restaurer leurs marges.

Sources complémentaires :

https://www.entreprendre.fr/

https://www.persee.fr/

https://www.francebleu.fr/

https://www.20minutes.fr/

https://www.lefigaro.fr/economie

https://www.processalimentaire.com/

https://www.bfmtv.com/

https://www.lsa-conso.fr/

https://www.lemonde.fr/

https://www.lesechos.fr/

https://www.jeuneafrique.com/rubriques/economie/

https://www.cirad.fr/


  1. Quels sont les experts que vous allez interviewer ?

    Nous avons décidé d’interviewer différents types d’experts, en effet, nous avons pensé que cela nous apporterais plus de diversités dans les réponses. Ainsi, nous avons donc interviewer :
  • Des chocolatiers de chez Jeff de Bruges, grande marque de confiseries chocolatés
  • Des chocolatiers de chez La Maison du Chocolat, grand fabricant de confiseries chocolatés, légèrement moins connu que Jeff de Bruges
  1. Quel est votre guide d’entretien ?
    Nous avons réalisé un questionnaire afin de se concentrer sur les questions essentielles qui nous aideront dans notre étude sectorielle. Cependant, nous avons crée un réel dialogue avec chacun de nos interlocuteurs, qui ont pu nous donner d’avantage informations, sur lesquels nous n’aurions pas pensé les interroger.
    Ci-joint les différentes questions que nous avons posés aux experts :

- Quels sont vos pics de vente dans l’année ?

- Quels sont les chocolats les plus vendu ?

  • Les gammes vendues changent elles selon les saisons ?
  • Exportez-vous d’avantage qu’avant ?
  • Quels sont les principaux critères d’achat selon vous ?

- Est-ce qu'avec la nouvelle éthique BIO vous vendez toujours autant ?

- Augmentez vous vos prix selon les saisons ? (Noël, Pâques, vacances scolaires.) ?

- Quels sont vos plus gros clients en termes de génération ? (Jeunes, -25ans, personnes âgées.) ?

- Avec les montées en gamme des marques Kinder, Ferrero etc, sont-ils devenus de très gros concurrents ou le chocolat artisanal reste incontournables ?

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