Le virus du SIDA
Lettre type : Le virus du SIDA. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar ischa1097 • 25 Novembre 2013 • Lettre type • 325 Mots (2 Pages) • 722 Vues
Le virus du SIDA ou Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise désigne une somme de symptômes dus à la destructions de cellules du système immunitaire.
Maladie officiellement isolée et découverte en 1983 par le professeur Jean Claude Chermann à l‘Institut Pasteur, le virus du SIDA déjà au préalablement remarqué aux Etats-Unis, et pensé comme touchant uniquement à ce moment la population homosexuelle. Seulement, la pandémie des années 80 met dévoile un virus touchant toutes les classes de la population même si le préjugé de « cancer gay » continue de catégoriser à tort la maladie. Le scandale du sang condaminé en France prouvera malheureusement l’absence de fondement de cette distinction accordée au SIDA. Car en effet, nombreux sont les transfusés à avoir reçu du sang contaminé par le virus.
Alors que le 1er Décembre a hier marqué la 22ème Journée mondiale de lutte contre le SIDA, le bilan est loin d’être aussi positif que l’on pourrait croire et la maladie n’a guère reculer. Après la peur panique causée par le virus dans les années 80 début 90, apparaît l’indifférence et le sentiment de ne pas être aujourd’hui concerné par une maladie dont le traitement, la tri-thérapie, semble faire disparaître l’idée d’une mort imminente.
Pourtant l’ONUSIDA a rapporté en 2006 des chiffres montrant le danger de la maladie : de 1981 à 2006, 25 millions de personnes sont décédées du SIDA. Car si aujourd’hui l’Europe ou les Etats-Unis ont largement diminué les taux d’infection, l’Afrique Noire ou la Chine ou l’Asie du Sud-Est se voient encore confrontés quotidiennement et massivement à la maladie sans avoir souvent l’argent pour produire les soins nécessaires et une prévention efficace.
Après plus de vingt ans de recherches quasi-vaines, les scientifiques n’ont toujours pas réussi à produire un vaccin efficace même si de récents essais prometteurs auraient été lancés en Thaïlande. Seule la tri-thérapie fût améliorée pour une qualité de vie meilleure du patient. Mais aujourd’hui, il n’y a toujours qu’une protection au virus : le préservatif.
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