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Economie générale.

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Par   •  15 Septembre 2018  •  Cours  •  19 415 Mots (78 Pages)  •  561 Vues

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Économie générale :

Agent économique => rationalité : choix entre plusieurs alternatives avec comme objectif : le maximum de profit.

L’intérêt général est-il la somme des intérêts particuliers ?

Justice  = concept fin 70’s (1979 : John Rawls[1] « théorie sur la justice »[2]). Inégalité juste/injuste => discrimination positive.

Sen : économiste indien qui en 98 a été récompensé d’un prix nobel d’économie.

Economie : équilibre entre offre et demande. Science qui tente à expliquer comment les sociétés humaines produisent de quoi satisfaire des besoins fondamentaux.

Offre : ce qui est produit, répond à une demande (consommation, investissement…)

Équilibre macroéconomique :

                                         Y    +   M         =         C     +         I      +         X        

        

                                            Offre                               Demande

                                Ce qu’on produit Y                 -Demande domestique : consommation C

                           et ce qu’on importe M            + investissement I (équipement, infrastructur moyens de production)

                                                                               -Exportation X

Y - (C- I)     =     X - M (solde commercial)

Bibliographie :

  • Les QRC des concours d’entrée à l’IRA
  • Revue et documentation française
  • Cairn Info
  • Repère/découverte – Que sais-je ?

Revues :

  • Les cahiers français (5-6 n° par an - mémoire : « comprendre l’économie » 2 numéros)
  • Problèmes économiques

Manuel :

  • BAREL, Economie politique contemporaine, Armand Colin, 3ème édition (2007/2008)


Chapitre 1 : La croissance économique :

  • Mesurer la Croissance :

        

  • Qu’est ce que la croissance économique et comment la mesurer ?

Croissance économique: Augmentation soutenue, durable de la production d’une économie durant de longues périodes. C’est un phénomène quantitatif qui est mesuré par un agrégat de production qui est généralement le PIB.

Le mot « croissance » est lié à la vie. C’est l’idée d’un objet vivant qui passerait par plusieurs phases, au bout duquel il y aurait le déclin et la mort. En ce qui concerne, la croissance économique, c’est un concept différent. Il s’agit de la capacité à produire toujours plus (à l’infini), à l’image d’un être éternel. Avec la croyance qu’il faudrait toujours plus de croissance. Pour les spécialistes, la croissance économique permettrait ainsi de résoudre tous les maux de la société.

Cependant, la croissance économique a aussi des limites :

  • Limites naturelles (stock des ressources naturelles (eau, air, minerai, espace valorisable, biodiversité, pollution).
  • Lié à nos pratiques sociales.
  • Lié aux politiques (question de la redistribution de la richesse).

  • Ambiguïté dans le concept. Croissance économique : croyance qu’on pourrait et qu’il faudrait  toujours chercher à produire plus. Elle connait des limites économiques, sociales et politiques.

L’économie est un concept récent (début XIXe), né avec la création de l’économie politique. Des économistes tel qu’Adam Smith, Ricardo ont tentés les premières définitions.

Les sociétés occidentales sont des structures en expansion. La civilisation veut conquérir le monde, vision expansionniste. Activité industrielle porteuse de progrès. La société s’est laïcisée au XIXe siècle. On va substituer aux lois divines des lois naturelles. Société marquée par la division du travail. Tournant important pour l’individu. Avant il n’existait pas, il n’avait pas de droit : la société impose ses lois aux individus à partir du XIXe siècle, l’individu devient une réalité sociale, politique et économique. Néanmoins cela va développer la concurrence. Cette concurrence va justifier les inégalités. Le plus riche serait le plus méritant. Connotation présente encore aujourd’hui derrière les mots « un ménage modeste ». Nous sommes encore très imprégnés par cet héritage. Pensée libérale : reconnaissance de l’individu, qui évoluerait en concurrence avec les autres, dans un environnement guidé par les lois naturelles. Economie classique dégagent des lois naturelles pour organiser cette société sociale. Problème, l’homme est de plus en plus considéré à ses fonctions.

Toutes relations sociales se fait sur un marché (Karl Marx : lutte des classes (individus qui ont des intérêts différents). A partir du moment qu’il y a de la compétition, il y a une lutte des classes. Marché : lieu de rencontre d’intérêts divergents mais complémentaires. Une société doit vivre dans une certaine harmonie, avec un minimum de paix sociale, de consensus. Sur un marché, c’est souvent le compromis qui triomphe. Promouvoir les libertés fondamentales (droit de circuler, de manifester, de propriété, de travail, de commercer).

Economie : produit d’une histoire, de la philosophie, de l’économie, de la politique, des rapports sociaux, de l’homme et de son environnement.

Pour les politiques, il faudrait produire plus, dégager plus de profit et donc hausse de la prospérité.

Théorie du mariage de Becker -> le mariage : raison économique. Tout serait calculé, nous serions tous des homo oeconomicus (mariage entre classes…)

La croissance économique = hausse de la production (activités humaines) et la satisfaction des besoins (génère des revenus).

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