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DSR2010 Responsabilité des entreprises UQAM Hydro-Quebec

Dissertation : DSR2010 Responsabilité des entreprises UQAM Hydro-Quebec. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Mars 2017  •  Dissertation  •  1 079 Mots (5 Pages)  •  951 Vues

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Université du Québec à Montréal

17 octobre 2014

Analyse de cas

1. Identification du problème :

Tout d’abord, le problème apparent que nous avons compris de ce cas est lorsque la MRC s’est opposé en disant que l’espace qu’Hydro-Québec avait envisagé pour démarrer son projet était prévu pour un espace supposément récréotouristique.

De l’autre côté, le problème de fond que nous avions identifié est lorsque la Coalition des citoyens et citoyennes du Val-Saint-François se sont opposés dès le début au projet du bouclage de réseau de transport d’électricité en plus d’avoir menacé Gérard Lachance (le responsable) de recourir aux tribunaux s’il allait poursuivre avec son projet. De plus, Jacques Laval (responsable de la Coaliton) « dénonçait les méthodes d’Hydro-Québec et parlait d’intimidation. »

2. Analyse

Commençons par identifier les différentes parties prenantes retracées dans ce cas. En premier lieu, il y a la Coalition des citoyens et citoyennes du Val-Saint-François qui menace Gérard Lachance de l’amener en cours s’il allait recevoir l’accord pour commencer son projet et aussi il n’arrêtait pas de mentionner que les méthodes utilisés par Hydro-Québec sont « incorrectes ». En deuxième lieu, il y a le Conseil des ministres qui ont donné l’accord face au démarrage de la construction de la phase 1, c’est-à-dire qu’il a été supportive tout au long face à cette décision. Par la suite, il y a le comité Warren, à qui Hydro-Québec avait mandaté de lui donner des conseils sur les technicités et les différentes méthodes utilisés et ceux qu’il envisage utiliser pour le futur projet. Encore une fois, il n’y avait rien de craignant et au contraire, il fallait que les meilleures méthodes soient adoptés le plus rapidement possible, c’est-à-dire avant l’hiver 1998-1999. Ensuite, il y a les populations locales autochtones, cries et inuites qui avait donné l’accord auparavant, soit en 1975, à Hydro-Québec pour la première phase de la construction de divers barrages dans la région de la Baie-James tout en respectant l’environnement et les écosystèmes de ce territoire. Lorsque le temps est venu pour la deuxième phase du projet de la Baie-James, la population locale a refusé l’accord car il y avait possibilité d’inondation sur les territoires de chasse. Cet évènement a non seulement entraîné la suspension d’un contrat d’Hydro-Québec avec les États-Unis en 1994, mais aussi des grosses pertes à cette entreprise. La Régie de l’énergie est aussi partie prenante remarquée dans le texte qui avait pour but de « permettre la participation du public, de fournir une tribune permettant aux groupes d’intérêts de questionner Hydro-Québec et de soumettre à des contre-expertises les propositions d’Hydro-Québec et du gouvernement. » La BAPE est une autre partie prenante qui s’occupe de « représentation auprès des populations touchées par l’implantation d’ouvrages d’envergure, comme l’installation d’une ligne électrique, d’une décharge ou d’une nouvelle route. » Pour continuer avec les parties prenantes, il y a l’UPA qui n’était pas satisfait des mesures d’urgence qu’avait entreprise Hydro-Québec lors du verglas et en disant que la propriété des agriculteurs n’était pas respecté. Il y a la MRC qui n’est pas du tout d’accord pour ce projet car l’espace de ce projet était prévu pour une utilisation récréotouristique. Pour finir, il y a la relation d’Hydro-Québec avec le gouvernement qui se pose plusieurs questions quant aux complications de ce projet.

On peut aussi parler des forces et faiblesses de l’organisation ici.

Leur réponse :

Au niveau stratégique

Au niveau RSE

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