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ADM2210 Devoir 1, droit et éthique de la santé et services sociaux

Cours : ADM2210 Devoir 1, droit et éthique de la santé et services sociaux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Août 2017  •  Cours  •  943 Mots (4 Pages)  •  1 643 Vues

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 ADM 2210[pic 1]

 Droit et éthique de la santé et services sociaux 


Le devoir 1 [pic 2]

     

Feuille d’identité        (      points)

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NOM         LABELLE         PRÉNOM         EMILIE

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NUMÉRO D´ÉTUDIANT         1139055         TRIMESTRE         HIVER 2013[pic 6]

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ADRESSE         215 DAVIDSON OUEST 

GATINEAU        CODE POSTAL         J8R2N2[pic 8]

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TÉLÉPHONE         Domicile         819-439-7282         Travail             

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         Cellulaire         613-882-7282

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COURRIEL         labelle.emilie@teluq.ca

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        NOM DE LA PERSONNE TUTRICE        Marc Calfat

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DATE D’ENVOI         30 janvier 2013

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Réservé à l’usage de la personne tutrice

DATE DE RÉCEPTION                      DATE DE RETOUR             [pic 17]

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NOTE              

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Devoir 1

  1. Les changements les plus importants que j’ai constatés sont l’attitude des intervenants face à la condition de vie de leurs clients. Je travaille dans un centre d’hébergement de soins longues durés (CHSLD) et je m’aperçois que la qualité de vie devient primordiale pour le personnel soignant.

Les établissements ont mis en place une organisation «milieu de vie» où l’implication de la famille et de l’usager est très importante dans l’élaboration des plans de soins. L’emphase mis sur le droit de refuser les soins médicaux est présent, les résidents, leurs familles et leurs répondants sont mis au courant des règles qui entourent leurs soins et de leurs droits d’accepter ou de refuser un traitement.

Des brochures sont aussi à la disposition de tous, bénéficiaires et employés qui mettent en lumière les droits de la personnes et les conséquences qui suivront le non-respect de ces lois.

  1. La bioéthique est née ces dernières années puisque le droit ne pouvait répondre et fournir des explications globales et précises à des interrogations aussi complexe et scientifiques tel que : déterminer le moment de l’apparition de la vie humaine, les limites au contrôle absolue sur son propre corps ou les limite de la reproduction humaine. Avant les années 80, les gens qui osaient judiciairement contester les actes ou acteurs du domaines médical étaient très rares. Les décisions individuelles et collectives ont donc commencé à être scrutées par le public et d'énormes indignations ont eu lieu. Les scientifiques ont donc réalisé que le droit ne pouvait répondre à toute ces interrogations et devait trouver certaines règles permettant de mieux répondre aux questions du public, d’où la création de comités d’éthique qui sert de relai entre le domaine médical et scientifique et le domaine juridique.
  1. La décriminalisation de l’aide au suicide implique que l’aidant soit le médecin, deviendra débiteur du droit à la mort, donc il y aura le mandat de préserver la vie et la santé et aussi donner la mort à ceux dont la condition le permet. Tant qu’à moi, les deux rôles sont beaucoup trop différents pour que les médecins ne s’y perdent pas. Il y aura donc formation de deux clans? Les médecins de la vie et ceux de la mort?

Pour ce qui est de la maternité de substitution, il est dangereux si elle est légalisée que l’enfant, donc la vie humaine devienne un simple objet de vente ou de location. Le corps humain ne peut pas devenir un centre de commercialisation pour êtres humains…

  1. Le droit ne doit pas empêcher l’évolution scientifique, mais doit respecter les droits individuels et collectifs de la société. Lors d’une découverte importante, il est nécessaire que les juristes posent des questions d’ordre social. L’exemple donné par l’honorable Jean-Louis Beaudouin dans son texte l’exprime bien. « Il est désormais possible, grâce à la science de congeler des embryons humain créés in vitro ou in utero. Cet exploit scientifique important à pour le droit et l’éthique des conséquences importantes pour avaliser ou au contraire prohiber certaines applications de la découverte. Doit-on par exemple permettre d’implanter ces embryons dans une autre personnes que son donneur ou encore combien de temps peut-on permettre de garder un embryon congelé?» Ce n’est pas de freiner la science mais bien d’apaiser les opinions néfastes du grand public sur des sujets scientifiques en posant des blaises éthiques jugées acceptables.
  1. Les domaines où la bioéthique est encore et sera encore très nécessaire sont tout ce qui touche les nouvelles technologies de reproduction et la médecine génétiques. Même si ces questions ont été déjà discuter tout ce qui a trait au contrôle absolu de son propre corps soit l’aide au suicide reste une question de débat constant.

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