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PME et stratégie d'internationalisation

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Par   •  19 Septembre 2023  •  Dissertation  •  2 076 Mots (9 Pages)  •  168 Vues

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PME et stratégie d’internationalisation.

Michel et Augustin, petite et moyenne entreprise comptant 100 employés, s’est lancé sur le marché américain avec franc succès en 2014. Ils comptabilisent dorénavant 120 employés un chiffre d’affaires de plus de 15 millions d’euros en 2021. Cet exemple nous montre qu’une stratégie d’internationalisation peut être mener avec franc succès par une PME.

Une petite et moyenne entreprise (PME) est une entreprise qui emploie moins de 250 salariés et dont le chiffre d’affaires n’excède pas les 50 millions d’euros d’après l’INSEE. Elles incluent alors, les très petites entreprises (TPE) qui compte moins de 10 salariés et un chiffre d’affaires n’excédant pas les 2 millions d’euros.

Elles sont diverses mais présentent des caractéristiques communes : la centralisation, la personnalisation du pouvoir, de la gestion, le dirigeant est souvent le propriétaire, une structure peu complexe, …

Une stratégie d’intertionalisation est le processus de développement du portefeuille d’activités en dehors de la zone géographique d’origine. C’est une stratégie globale qui engage l’entreprise sur le long terme. Cette stratégie peut couvrir deux réalités différentes : l’exportation ou l’investissement direct à l’étranger.

  • Qui ? Les PME
  • Quand ? Depuis les années 1980.
  • Quoi ? Les stratégies d’intertionalisation, les exportations, les IDE, les stratégies de relocalisation.
  • Comment ? Par les IDE et les exportations
  • Pourquoi ? Développer ses parts de marché, réaliser des économies d’échelles, contourner les barrières douanières, assurer la croissance de l’entreprise, répondre à une demande.

Depuis les années 1980 du fait de l’accélération de mondialisation, notamment technologique, les PME ont dû et doivent se développer à l’international et mettre en place, par conséquent, des stratégies d’internationalisation afin d’assurer leur pérennité.

Pourquoi les PME mettent-elles en place des stratégies d’internationalisation ?

Elles doivent déterminer leurs objectifs (I) afin de choisir au mieux leurs modalités de leur stratégie d’internationalisation (II). Est-ce que c’est adapter ?

  • Une idée : explication de l’idée, rallier l’idée à un auteur et illustrer l’idée.
  • Rédiger une courte introduction à chacune de vos grandes parties.
  • Faire des transitions entre les grandes parties et les sous-parties.
  • Conclusion : répondre à la question posée en introduction, ouvrir le sujet en mettant en avant les questions qu’amène la réponse.

  1. Les PME doivent déterminer leurs objectifs en matière de stratégie d’internationalisation.

Pour pérenniser et développer une entreprise à l’international, les dirigeants doivent se fixer des objectifs de court et long terme (A), à l’aide d’outils spécifiques (B).

  1. L’importance de fixer ses objectifs en vue d’internationaliser sa PME.

Toute entreprise, quelque soit sa taille suit le même schéma en vue de s’internationaliser. Elle doit tout d’abord prévoir sa mise en œuvre de sa stratégie. Selon Fayol, la planification administrative devait être au centre des tâches de direction. Ainsi, elle devait prévoir, organiser, commander, coordonner et contrôler. Prévoir et contrôler correspond globalement à la mise en place d’une planification.

Pour Drucker, qui reprendra les travaux de Fayol, tout manager a pour mission de mettre en œuvre les moyens techniques, financiers et humains sont il dispose pour atteindre ses objectifs par des moyens de direction, de planification, d’organisation et de contrôle. Ce qui devra être fait par la mise en œuvre d’une Direction par objectif (DPO) qui permet notamment de mettre en œuvre un système de planification ; d’améliorer la communication au sein de l’organisation ; une optimisation des objectifs de cette dernière ; l’évaluation périodiquement des performances ; une rémunération incitative.

Ainsi, pour Drucker le résultat de planification est moins important que les étapes de cette dernière. Il définit en deux étapes la planification : ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas. De ce fait, elle est un instrument d’action qui donne à l’entreprise le moyen d’agir sur sa situation future ; c’est un instrument de cohérence des ressources mises en œuvre et qui permettre de réaliser les différents ajustements nécessaires. Elle est enfin un instrument de motivation. Elle vise à définir des décisions immédiatement applicables mais qui engagent durablement l’entreprise. Il faudra ensuite prendre les décisions d’adaptation pour les atteindre. Cependant, elle ne consiste pas seulement dans la prévision et ne supprime pas le risque. Elle ne vise pas à anticiper des décisions futures.

C’est ainsi, que les organisations et notamment les entreprises, ici les PME, doivent s’armer d’outils spécifiques pour cibler ses objectifs de stratégie d’internationalisation.

Référence de PME pour chaque sous-partie.

  1. Les outils spécifiques pour cibler ses objectifs de stratégie d’internationalisation.

Il existe différents outils spécifiques permettant aux organisations, PME, afin d’atteindre une stratégie d’internationalisation.

Pour commencer, un diagnostic stratégique s’impose. C’est une démarche mise en œuvre par une organisation, afin de recenser et évaluer, toutes les ressources et compétences dont elle dispose ; ainsi que les contraintes environnementales auxquelles elle se trouve exposée ; tout cela afin de mettre en œuvre sa stratégie, ici d’internationalisation, de la manière la plus efficace, efficiente et pertinente possible en fonction des finalités de l’organisation et en tenant compte de son métier et de sa mission.

C’est par le biais d’un SWOT, acronyme de Strengths, Weaknesses, Opportunities et Threats qu’il est possible. La Business School de Harvard est à l’origine de cette méthode qui consiste à inciter à faire un double diagnostic des « Forces Faiblesses / Opportunités/Menaces ». C’est la confrontation entre le résultat du diagnostic interne qui permettent de faire ressortir les facteurs clés de succès, et ceux du diagnostic externe qui alertent sur l’impact de l’environnement qui permettra de formuler des options de stratégies, ici d’internationalisation.

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