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Compte Rendu sur la pièce de théâtre Pirogue de Jean-Yves Picq

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Par   •  2 Novembre 2014  •  684 Mots (3 Pages)  •  724 Vues

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I) Introduction

La pièce de théâtre s'intitule « pirogue », il a était écrit par Jean-Yves Picq. Il fut mit en scène par le Collectif Le Bleu d'Armand et l'auteur. Cette pièce raconte une descente en Pirogue du Niger, avec un groupe d'Européens constituaient de 3 femmes et 3 hommes. Cette histoire est basée sur des querelles entre femmes et hommes. Avant d'entrer dans la salle, tout le monde était calme parce que le spectacle avait déjà commencer avec les 3 hommes qui attendaient sur la pirogue.

II) Analyse Chorale ( de l'ensemble)

Il s'agissait d'un espace mental mais à la fois réel. Les spectateurs sont placés en frontal. Il avait juste un petit espace qui séparât les acteurs au public. L'espace du jeu est encombré, cette espace est non réaliste car le décor en lui-même laisse au public à imaginer les actions. C'est un espace réaliste qui imite le monde, d'un milieu sociale illustrée théâtralement. Cette espace symboliste dématérialise le Niger. C'est un espace mentale. Il y a 3 décors, les transformations se font par les acteurs et leur rôle à vue. Ce décor est constituée dès mêmes décors qu'au début. On garde presque les même éléments mais ont rajoutent des petits éléments. C'est réaliste, il fait référence à la vie quotidienne. Le metteur en scène ajoutent le sable, avec les instrument de cuisines avec les lanternes et leurs draps. Quelques éléments représentent la colère, la fatigue et d'autres émotions. La ligne directrice de tout ces éléments est la pirogue.

Les lumières n'ont pas eu beaucoup d'importance. Les lumières ont aider au public de se situaient dans le temps (jour, nuit). Il ont travaillaient sur le clair-obscur en éteignant les lumières vers l a fin et sur le mur du fond il y avait des jeux de lumière, puis les lumières s’estompe et sont devenus sombres pour montrer la nuit.

Leurs costumes sont de notre époque, c'est un peu grisâtres et marron clair, comme des aventuriers. Le metteur en scène tente d'emmener son spectateurs vers la vie réelle, ce qui fait une utilisation réaliste.

Le metteur en scène a utilisé une musique douce qui sortait d'un poste de radio et il y avait aussi un jeune homme qui chantait un chant traditionnel à deux longue reprises vers le début et la fin. Ce chant a une signification, sa montre que l'homme qui chantait était originaire du Niger, elle ajoute un petit rythme à la scène. Dans la radio c'est une bande enregistrée. Il n'y a pas de groupe, il y a juste un chanteur qui est intégrée à la scène.

Le spectateur est en frontal face aux acteurs, cela fait comme si les acteurs s'adressent aux publics.

Il n'y a pas de références esthétique picturale. Il y a une utilisation de l'écran avec un effet comme de la fumée, cela représente la nuit et le jour avec des couleurs chauds et froids.

Leurs textes et dit avec un tons de colère, il y a des pauses courtes qui se fait avec le redar et les gestes. Il donne un rythme rapide. Il n'y/a pas de changement de registre et il n'y a aucun appuit sur le texte. Les émotions se font ressentir

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