Étude du poème Heureux qui, comme Ulysse, a Fait un Beau Voyage de Du Bellay
Dissertation : Étude du poème Heureux qui, comme Ulysse, a Fait un Beau Voyage de Du Bellay. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar guilevel • 14 Mai 2013 • 681 Mots (3 Pages) • 1 230 Vues
Au 16eme siècle, les humanistes se définissent par une admiration des cultures grec et latines, par
une soif intarissable des connaissances, par une confiance absolues l’être humain. Donc du Bellay
est bien un humaniste. Du Bellay, pierre de Ronsard et d’autres sont à l’ origine d’un nouveau
mouvement que l’on appelle la pléiade. Ainsi, la pléiade tente de diffuser le savoir tout en donnant
ces lettres de noblesses aux langues françaises. De 1553 à 1557 il va accompagner son cousin jean du
Bellay à Rome où il va souffrir du mal du pays et va écrire les regrets. Dans ce recueille il exprime ses
impressions grâce à des sonnets d’inspiration élégiaque ou satirique.
I.
La nostalgie du pays natal
1) Le regret
Registre élégiaque=> pays natal
Pas de « je » dans la 1er strophe mais emploie de « qui » => n’importe « qui »puis ,
Peu à peu il parle de lui
Registre élégiaque mit en valeur par « hélas » => césure a l’hémistiche avec une « , »
et un «!».
« Reverrai-je »x2 emploi du futur car il a hate de rentrer
«?» v5 ->v8 => enjambement
2) L’attachement pour le pays natal
- « Mon petit village » => attachement
« Ma pauvre maison »=> ………………….
« Mes alleux » => ……………………
« Mon Loire »=> ……………………
« Mon petit Liré » => ……………………
« Petit » et « pauvre » => attaché malgré la simplicité/ l’aspect modeste
- « Cheminé » => synecdoque => maison / village, la cheminé = la chaleur de foyer
« l’ardoise » => le toit = la protection ( comme « clos »)
« Le séjour qu’on bâtit mes alleux »=> aspect natal et racine.
Dernier vers du sonnet = conclusion => il préfère « plus qu’a l’air marin la douceur
angevine » Anjou=> sa région natal / « douceur » = idée de confort/
« Douceur angevine » accentué par la rime féminine => vers avec pays natal svt
féminine
1er objectif de Du Bellay est d’exprimer ses regrets mais aussi de faire l’éloges de sa région : l’Anjou
et de son petit village : le Liré. On va voir que ce poème est humaniste et appartient aussi à la
pléiades.
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