Étude du poème El Desidichado de Gérard de Nerval

AXE 1 : UN POEME EN CONTRASTE

* Thèmes et sous-thèmes : folie, destin, amour, poésie, tristesse, mélancolie, passé, solitude

* Mystèrepersonnalité

* Qui est-il ?

* Incertitude

* Thème principal : identité et quête d’identité du poète

* Parcours

* Mythologie

* Perte d’n être cher, de l’inspiration

*Lyrisme, pathétisme, lumière qui disparaît

* Le romantique est bipolaire

* Enonciation « je »

1er tercet : l'interrogation sur l'identité

- 2ème tercet : la victoire sur le malheur

INTRODUCTION : Les Chimères de Gérard de Nerval est un écrivain et poète français du xix e siècle , dont est extrait El Desidichado,est compose de 12 sonnets et parut en 1854 a la suite des filles du feu. A travers ce poeme l`auteur nous fait part de son malheur et sa folie. l’auteur se remet souvent en question. Il n’arrive pas à cerner son identité, sombrant ainsi dans la mélancolie la plus totale Mais Petit à petit, il la reconquiert en retrouvant la lumière et le pardon. Pb :

1°) Une présence triste et sombre

Le champ lexical du malheur est très présent dans El Desdichado (inconsolé, consolé, désolé) construit autour d'une racine latine Gradation : tenebreux veuf inconsole.

Le mot mélancolie marque fortement le texte. Le titre El Desdichado signifie : "déshérité". Il traduit en effet un manque. On passe de "lui" à "je" et "je" traduit le malheur.

REGISTRE pathetique lyrique utilisation de la premiere personne expression des sentiments trsitesse melancolie regret

Etudier 1er quatrain, montrer domination par sombre, obscurité, malheur, défini la situation présente, renvoie à la couleur noire, puis reprise de cette noirceur avec oxymore « Soleil Noir », « Etoile Morte »,, rythme irrégulier, , vers, explication de sa solitude, mort de son inspiration.

2)la lumiere du passe

Le deuxieme quatrain a travers l`evocation d`un sejour lumineux en Italie decor harmonieux floral et vegetal de sa joie passee

Nerval joue pleinement avec les contrastes et les oppositions. Certes le poème entier s’inscrit dans un cadre plutôt sombre, mais il est possible de dégager certaines lignes lumineuses qui s’opposent à l’ambiance lugubre. Ainsi nous sommes capables de relever le champ lexical de la mort, représentée par les substantifs « le ténébreux » (vers 1), « le soleil noir » (vers 4), « la nuit du tombeau » (vers 5) et « la grotte » (vers 11). Cette terminologie dominante se heurte à quelques rayons lumineux symbolisés par les termes « étoile » (vers 3) et « la rose » (vers 8). L’auteur s’amuse donc à créer des contrastes visant à montrer son état d’esprit chaotique au lecteur, c’est ainsi qu’il n’est donc pas étonnant de

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