LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Étude du poème Cour Du Lion d'Arthur Rimbaud

Dissertations Gratuits : Étude du poème Cour Du Lion d'Arthur Rimbaud. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Octobre 2014  •  641 Mots (3 Pages)  •  766 Vues

Page 1 sur 3

Le premier vers met d’emblé le point de départ sur l’intrigue. Le terme « un jour » montre un caprice du roi d’où une succession de verbes au passé simple qui suggère la rapidité de décision et la rapidité d’action : Les ordres s’enchainent tout le monde s’active à obéir et plaire au roi. Les octosyllabes et les enjambement montrent l’accélération des événement et rendent le récit beaucoup plus vivant et proche de la prose.

Pour rendre le récit plus plaisant La fontaine joue sur la diversité des niveaux de langue. On a dont des expression soutenue : « sa majesté » , « manda » (vers 3) « ses vassaux »(vers 4) « monseigneur » ou encore la périphrase mythologique « l’envoya chez Pluton ». Parallèlement on à un langage familier avec des termes trivial : « Fagotin » « gens » « sentir » et l’expression populaire « répondre en Normand ». La diversité des niveaux de langue amuse les lecteurs. Le récit est également plaisant puisqu’il prend appui sur des éléments personnels.

Le lion incarne le pouvoir royal britannique. La périphrase « sa majesté lionne » montre qu’il est également doté de beaucoup de prétention et d’orgueil prolongé par la diérèse comme si le personnage se complaisais à installer son pouvoir , son autorité. Le lion a envie de réaffirmer sa puissance ce qui est encore un symbole de la prétention. On voit qu’il a besoin de le montrer plus aux autres plus qu’il veux s’en persuader. La diérèse sur « nation » montre la multitude de biens qu’il possède . Sa puissance s’exprime aussi par l’énumération des personnes sur lesquels il exerce son pouvoir : « député »(vers 3) « vassaux » (vers 4) « cours plénière » (vers 9 ) « les sujets » (vers 7) . La encore l’enjambement montre que le pays n’en a pas fini sur les actes et les circulaire du roi.

Le choix de lalexandrin qui succède aux 12 octosyllable est de montrer le pouvoir royal. Ce vers fait échos à la magnificence qui occupe tout l’hémistiche de l’occtosyllable précédent . C’Est-ce meme orgeuil du roi qui apparait dans l’antonomase « son louvre » (vers 15) d’autant + que ce louvre n’est qu’une entre et qu’il s’agit d’un charnier.

« L’ours boucha… » Son gest est spontané , naturel et iréfléchi . Il se montre don tres maladroit il n’ad pas l’étoffe d’un bon courtisan , il ne sais pas dissimuler pour plaire . Sans doute ici il incarne la petite noblesse non habitué à la vie de la cour et de son mode de vie hypocrite. Son geste déplait. Le singe quand a lui flattre de manière excessive pour plaire au roi il fait effet de zèle. Mais il en fait trop , les sonorités , les allitérations en chiasme sifflante ( s , f , s ,f ) montre son hypocrisie comme l’accumulation souligné par les « et » se déploi du vers 21-22 montre que le singe en rajoute systématiquement avec des recours à l’hyperbole (vers 23), l’anaphore « il n’était pas » montre le caractère excessif des louanges , il en fait trop et est démasqué par le roi.

Reste le Renard qui incarne la ruse , fidèle à sa tradition reste le plus habille. Il ne faut pas critiquer , n’y louer. Le renard choisir donc de ne pas se prononcer pour cela il feint d’avoir le nez bouché. Le participe présent « allégant » signal qu’il ment et pourtant il s’en tire (vers 32). La rapidité de la chute signale l’efficacité

...

Télécharger au format  txt (3.7 Kb)   pdf (58.2 Kb)   docx (9.2 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com