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Une crise de folie marquante, un retours vers les passé.

Dissertation : Une crise de folie marquante, un retours vers les passé.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Octobre 2016  •  Dissertation  •  1 437 Mots (6 Pages)  •  900 Vues

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Une crise de folie marquante, un retours vers les passé.

Je me souviens encore de cette journée. La veille, le jeudi 28 janvier 1915 nous chantions encore et toujours cette chanson, que l’on répétait sans cesse soi-disant pour nous préparer à mourir en héros. Ce couplet de la Marseillaise, que le professeur aimait particulièrement. A la fin de notre récitation journalière nous avons repris les cours de français et puis la journée s’est achevée. Nous sommes rentré chez nous.

Le lendemain quelque chose d’étrange m’envahissait.Ce matin-là, j’avais loupé mon réveille et était arrivée un peu en retard à l’école alors maman m’avait disputé, et j'avais grand-peur d'être grondé aussi par le professeur, d'autant que M. François nous avait dit qu'il nous interrogerait sur ce couplet de la marseillaise. Alors sur le chemin de l‘école je me répétais la chanson afin d‘être sur de ne pas me tromper. Un moment, l'idée me vint de ne pas aller en cours et de retourner à la maison en disant que j’étais malade et ne me sentais pas très bien cela m’aurait évité de chanter la poésie. Le temps était si chaud, si clair, si lumineux et ensoleillé! On entendait les corbeaux et les jeunes merles piaillaient au-dessus de nous avec une telle gaité. Que tout cela me donné l’envie et le courage d’aller à l’école.

Quand je suis enfin arrivé à l’école je me suis précipité de rentrer en classe et M. François s‘est approché de moi.

- Va vite à ta place, mon petit Antoine; nous allions commencer sans toi cette leçon.

J'enjambai le banc, mit ma blouse blanche et je m'assis tout de suite à mon pupitre.

Alors seulement, un peu remis de ma frayeur, je remarquai que notre maître avait son beau pantalon noir , son jabot plissé fin et la culotte de soie noire brodée qu'il ne mettait que les jours d'inspection. Du reste, toute la classe avait quelque chose d'extraordinaire ce jour-là, c’était indescriptible, tous les élèves avaient l’air joyeux.

Pendant que je m'étonnais de tout cela, M. François était monté dans sa chaise située sur l’estrade, et de la même voix douce et grave dont il m'avait reçu, il nous dit :

- Mes enfants, aujourd’hui nous allons faire un cours de défense passive alors mettaient vos masques à gaz.

Tous se passer bien, nous enfilions d’abord les lunettes puis le masque sous les ordres de notre professeur.

Et puis tous d’un coup le professeur nous dit « On sert fort non de dieux » cette phrase nous mit tous mal à l’aise et surtout un sentiment d’incompréhension pris le dessus . Et la notre enseignant commença à nous traiter et nous lancer des jurons en nous comparant à des animaux, c’était étrange et le sentiment de peur nous envahissait. Puis le comportement de M. François devenait anormal et étrange, il nous disait que l’on allait tous mourir à cause des poumons pleins de gaz. Et là sa folie débutât.

Il commença à nous faire chantonner puisque c’était un mode d’entrainement militaire et notre professeur nous prenais pour des soldats. Alors on commença a chanter «  Tout est soldat pour vous combattre,

Si ils tombent nos jeunes héros,

La France eu produit de nouveaux,

Contre vous, tous prêt à se battre » et puis plus ont avancé dans ce refrain plus les voies des enfants se renfermer , plus on sentait la peur les envahir. Au milieu de ce couplet le professeur imitait les bruits des explosions de mitrailleuses tous en chantant avec nous. Et puis arrivé au fond de la classe il enleva ses chaussures et les jeta pour imiter le lancement d’une grenade, on sentait le stress, la peur comme si des souvenirs l’envahissaient lors de cette scène. Il jeta donc sa chaussure sur le tableau et fit des gestes lorsqu’elle arriva au sol, afin d’imiter une explosion. Puis un soulier, puis deux et la un sentiment de frayeur m’envahit je n’osais même pas chantait de peur de l’énervé encore plus.

Et puis la plus personne ne chante, je lève alors

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