Travail sur Sepulveda “Le Vieux Qui Lisait des Romans d’amour”

Français

Luis Sepulveda est un écrivain chilien né le 4 octobre 1949 au Chili, il est mort le 16 avril 2020 en Espagne à l’âge de 70 ans. Il a écrit 9 œuvres notamment son premier roman : “Le Vieux Qui Lisait des Romans d’amour”, c’est d’ailleurs l’œuvre que j’ai choisi de vous présenter.

Cette œuvre est un roman écologique évoquant la vie des Indiens les “Shuars” dans la forêt amazonienne et l’impact de la colonisation sur les populations amazoniennes. C'est un roman à la fois humoristique et émouvant, il contient 8 chapitres avec différent thème au long de cette magnifique histoire. Ce roman par ailleurs, de son titre original “Un viejo que leia novelas de amor”, est traduit en 35 langues, c’est le roman étant à l’origine de la renommée mondiale de l’auteur.

Je souhaite parler de cette œuvre lors de mon oral car ce roman me paraît si récent d’autant plus que nous sommes en pleine déforestation amazonienne ou en crise écologique. L’Amazonie étant considéré comme le poumon de la Terre, a pourtant eu plus de 10 000 incendies l'équivalent de 20 fois la ville de Paris. La pollution de ce fameux poumon entraîne par ailleurs la noirceur (dû aux cendres) de certaines villes comme par exemple Sao Paulo qui est une ville Brésilienne.

Cette œuvre a provoqué une prise de conscience sur nos actes et notre empreinte écologique ainsi que sur la colonisation des tributs. Bien évidemment ce roman m’a fortement touché puisque les personnages, notamment le personnage principal, a un passé touchant et émouvant. Il a perdu sa femme, a vécu avec les “Shuars”, a appris de leurs coutumes et de leurs croyances, et s’est fait rejeter suite à la perte d’un ami. "page 40 à 51”

À la fin de ce roman, étrangement, je me suis senti assez libéré et pourtant triste du fait que je l’ai terminé car je m’étais attaché aux personnages. Cette fin, je ne l’imaginais pas autrement, elle est assez bien à mon goût, triste, et pleine de sentiment. À ma première lecture, pour ma part, ce fût facile d’entrée dans cette œuvre, d’autant plus, qu’à ma seconde lecture, mon imagination fusait et construisait les visages et corps de chaque personnage. Le début de l’œuvre est basé sur un ton ironique avec l’arrivé du dentiste et sa rage contre le gouvernement "Tiens-toi tranquille, bordel ! […] La faute au gouvernement” ainsi que la “limace” ‘décrite de manière assez moqueuse. (Page 23 à 24)

Je pense que le personnage le plus attachant est Antonio José Bolivar Proano, il est le plus raisonnable parmi chaque personnage décrit, il est assez décontracté, mélangeant chaque émotion, la joie, la tristesse, la colère. Ce personnage me plaît énormément, il a fait partit des deux camps, des personnes Civilisée et des “sauvages”. J'aurai pu imaginer différent titre tel que : “Le Poumon De La Terre”, “La terre paradisiaque”, “entre sauvagerie et civilisation”, “In The Demoniaque world”.

Je n’ai pas vraiment de musique à laquelle j’associerai cette

...