Synthèse sur la mémoire

Ce document est une photographie en noir et blanc représentant la rue Monge à Paris, après les chantiers haussmanniens. Cette photo parait dans un livre nommé Le Paris Haussmann, édition du Mécène datant de 2002. Cette photographie exprime une partie des boulevards haussmanniens récents, puisqu’ils ont été réalisés après la réhabilitation.

Les transformation de Paris constituent une modernisation et une restructuration menées par le préfet Haussmann à partir de 1852. Pour des mesures de sécurité et d’hygiène, le projet a couvert divers domaines permettant de réorganiser les rues, les boulevards, la réglementation des façades, des espaces vers et des égouts et des équipements publics. Ces travaux permettent de développer également des gares et provoque une densification de plus en plus importante.

La photographie prise en noire et blanc et l’information donnée comme étant la rénovation de la rue Monge permet de dater dans le temps. Cette photographie démontre qu’a cette époque, il n’y avait que très peu d’automobile puisque elles ne sont pas présentent sur la photographie et les pavés recouvrant la rue aide a appuyer cette infirmation. Cependant il est possible de voir qu’au milieu de cette axe se révèle des rails de tramway facilitant la traversé de part et d’autre cette rue longiligne.

De part et d’autre de la rue Monge se dessine des bâtiments corpulents. Leurs façades obligatoirement en pierre de taille ont la même hauteur et devaient donc être proportionnelle à la largeur de la rue. Grace à sa linéarité les immeubles haussmanniens paraissent moderne, notion qui, a l’époque n’était pas éprouver par tous. Dans les immeubles de styles haussmanniens, il existe une gradation esthétique en parallèle à une gradation sociale sur différents niveaux : au rez-de-chaussée, principalement des espaces de ventes, et par la suite sur les différents étages, des habitats pour différentes classes sociales. C’est pourquoi plus on monte en étage, plus les décorations sont des appartement sont sobres et les hauteurs de plafonds sont moins importantes.

Les balcons situés au deuxième étage et au cinquième étages, sont l’une des caractéristiques les plus marquantes des immeubles haussmanniens. Ils sont généralement présents d'une extrémité à l'autre de l’immeuble et sont généralement en fer forgé. Ce n’est pas la seule caractéristique, Haussmann oblige l’alignement des façades, pour que les balcons, les corniches et les toits soient alignés, dans un soucis d’harmonisation.

Grace a cette photographie, il est possible de voir un espace ouvert, assez large. Notre regard est attiré vers le fond de la rue. ce qui donne une impression d’immensité. L’éclairage semble naturel, le soleil au zénith permettant d’apprécier toutes les qualités de la rue, et de mettre en avant la rue et ses bâtiments. Le point de vue que nous donne le photographe permet d’apprécier la grandeur, la longitudinalité et le calme de la rue.

...