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Résumé de 3 Fables dans Livre 7 de Jean de la Fontaine

Mémoires Gratuits : Résumé de 3 Fables dans Livre 7 de Jean de la Fontaine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Avril 2014  •  1 059 Mots (5 Pages)  •  1 192 Vues

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A Madame de Montespan

Mme de Montespan a été la maîtresse du roi Louis XIV à partir de 1668. C’est elle qui a donné le projet d’une Histoire en médailles des principaux événements du règne de cet illustre monarque. Elle a confié le soin de cette entreprise à des Gens de Lettre qui se sont rassemblés chez Racine. C’est à ce moment-là que né l’Académie des Inscriptions et Belles- Lettres. Elle a exercé auprès des artistes et des écrivains, un mécénat dont a profité La Fontaine. Cette dédicace signale la tonalité plus mondaine de ce second recueil. Il commence par rappeler que « l’Apologie est don qui vient des Immortels » et qu’elle nous est parvenue par les « autels » grâce au « Sage » qui en a « [fait] un bel art inventé » (c’est quelque chose de si divin car on en trouve jusques dans les plus anciens livres de la Bible). Ensuite, il montre à quel point la Fable peut livrer un enseignement en « rend [ant] l’âme attentive ou [en la] [captivant] ; [tout] en nous attachant à des récits qui mènent à son gré les cœurs et les esprits ». Ensuite il fait une éloge trop direct à Mme de Montespan (le goût délicat de cette dernière eût sans doute été plus flattée d’une louange plus directe) qui « [lui permet de] franchir les ans dans cet ouvrage » grâce à « ses paroles et regards, [dont] tout est charme chez [elle] » (tout ce que dit La Fontaine est top commun) ; de plus il doit la partager avec « un plus grand maître que [lui] » (Louis XIV). Il ne cesse de remercier sa « Muse », son « Olympe » qui ira protéger jusqu’à « [son] dernier ouvrage » grâce à son mécène qui « sert [de] rempart et d’abri [pour] le livre favori [et qui pourra ainsi le faire vivre à travers les âges] », il lui dit que ses vers « attendent tout leur prix », elles ne peuvent être estimés qu’à la seule « jug [e]) de tout l’ « univers » (La Fontaine est très confiant). Enfin, il termine en espérant que « ces vers [procurent] le bonheur de [lui] plaire » et si jamais c’est le cas il construira « des temples que pour [elle] » pour la remercier de tout son travail.

3. Les Animaux Malades de la Peste :

Cette Fable est presque l’histoire de toute la société humaine. C’est une réflexion moraliste, pessimiste sur la justice telle qu’elle est pratiquée à la Cour Il s’est inspiré de l’Antiquité grec (Sophocle Œdipe Roi, Thucydide Guerre du Péloponnèse. Un jour (long de 14 vers), « pour punir les crimes de terre », le « ciel en sa fureur » invente la Peste (cérémonie orchestré, l’arrivée de la peste est ralentit par les allitérations en [r] roulement de tambour de « terreur », « fureur », c’est un début grave, tragique). Pour survivre face à « cette infortune », le Lion tient un conseil et décide que « le plus coupable d’entre [eux] se sacrifie aux traits du céleste courroux » pour qu’il puisse « obtenir la guérison commune ». Le Lion commence « sans indulgence » (il s’accuse humblement pour donner l’exemple : on croit qu’on à pardonner un roi doux, bon ; mais on se rend compte que ce roi est hypocrite. Il montre qu’il est le plus fort car il a « dévoré force moutons » et « le berger » (3 courtes syllabes disposé en plein milieu de la page)

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