Résumé De Capitalisme Et Liberté De Friedman

Résumer : Capitalisme et liberté

Dans l’introduction, Friedman défend sa position face à la place que le gouvernement devrait prendre dans la société. Il commence d’ailleurs cette introduction par une phrase célèbre dite par le président Kennedy. Cette phrase est la suivante : « Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.» Friedman critique cette phrase en disant que l’homme libre attend de la nation qu’elle n’ait aucun but propre, sauf l’agrégation des buts des membres de sa société. Toujours dans la veine de l’homme libre en société, Friedman nous parle de la question que celui-ci se pose. Il dit qu’il veut savoir comment utiliser le gouvernement pour arriver à ses buts et laisser ce dernier ruiner la liberté de chacun. On voit clairement que l’auteur met carte sur table assez promptement dans ce texte concernant la place du gouvernement dans la société. Il continue en disant que l’histoire a démontré qu’une centralisation du pouvoir mène toujours à une perte de liberté pour la majorité des individus, il insiste sur le fait qu’il faut éviter cela. Il dit que deux principes de la constitution des États-Unis fourni deux réponses à la question que l’homme libre se pose. Premièrement, le fait que les compétences du gouvernement soit limité et deuxièmement faisant appel à la division du pouvoir le plus également possible. Il amène aussi l’idée que le gouvernement peut apporter du bien à une société, mais peut aussi engendrer du mal et il insiste sur le fait que le gouvernement est au gouvernement pour une période indéterminée. Il dit ensuite que tout ce que possède un homme libre en terme de variété d’option et de liberté d’action ne pourra jamais être reproduit peu importe le gouvernement en place. Le premier chapitre dont il sera question pour le reste du résumé traite des principes de l’activité économique œuvrant dans un marché concurrentiel et l’apport des entreprises privés pour le bon fonctionnement de cette doctrine.

Liberté économique et liberté politique

Friedman débute son chapitre en notant que la plupart des gens font une distinction entre liberté économique et liberté politique. Il dénonce cette différence et insiste sur le fait qu’un rapport existe entre les deux. Il dit en fait que la liberté économique a deux rôles soit la liberté au sens large, mais il dit qu’elle est indispensable pour la liberté politique. Il insiste sur le premier point et cite plusieurs exemples qui prouvent son point disant que la liberté économique est essentielle pour la liberté au sens large. Il continu son argumentation en disant le capitalisme de concurrence est la clé pour atteindre la liberté politique car il mène à la séparation du pouvoir économique et du pouvoir politique. Il dit ensuite que l’histoire prouve que la liberté politique dépend de la concurrence en citant par exemple l’âge d’or de la Grèce. Friedman mentionne aussi, toujours en citant des exemples historiques, que la relation entre liberté économique et politique n’est pas unilatérale.

L’auteur vient ensuite à se poser la question suivante : qu’est-ce qui nous prouve dans l’histoire que l’arrivé du capitaliste soit la cause de l’expansion de la liberté.

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