Rubriques Lorenzaccio
Fiche de lecture : Rubriques Lorenzaccio. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar kurokitsune • 12 Mai 2014 • Fiche de lecture • 420 Mots (2 Pages) • 446 Vues
-Le double : « Ce que vous dite l-Le masque : « Maintenant il est collé à ma peau. »
à est parfaitement vrai, et parfaitement faux, comme tout le monde. »
-Son crime /Vengeance : « Tu es grand Pierre, tu es beau comme la vengeance ! » ; « Ma vie entière est au bout de ma dague.»
-Son alter ego : le duc => tyrannie : « Le pape et l’empereur sont accouchés d’un batârd qui a droit de vie et de mort sur nos enfants et qui ne pourrait pas nommer sa mère.»
-La marquise Cibo (les femmes) => « Les femmes sont faites pour coucher avec les hommes.» ; « Une femme qui n’a peur de rien n’est pas aimable, dit-on. »
-L’art : « Un peuple malheureux fait de grands artistes ! » ; « Je n’appartiens à personne ; quand la pensée veut être libre, le corps doit l’être aussi.» ; « Je suis artiste ; j’aime ma mère et ma maîtresse. » ; « Les grand artistes n’ont pas de patrie. » ; « L’enthousiasme est frère de la souffrance. »
-La débauche : « Faire du jour la nuit et de la nuit le jour, c’est un moyen commode de ne pas voir les honnêtes gens. » ; « Ce lendemain d’orgie ambulant. » ; « Ou le plaisir ne coûte rien, la jeunesse n’a rien à perdre. »
-Amour : « Heureux celui qui sait se faire aimer ainsi après sept années de mariage. »
-Florence : « Adieu Florence la batârde ! »
-Rêve et lyrisme : « sait tu ou vont les larmes des peuples, quand le vent les emporte ? »
-Le cardinal : « Il doit bien rire de nous tous. » ; « vautour à tête chauve. » ; « un confesseur doit tout savoir parce qu’il peut tout diriger.»
-Vision de l’homme et du monde : « Il faut que le monde sache un peu qui je suis, et qui il est. » ; « L’humanité souleva sa robe et me montra sa monstrueuse nudité. »
-La république : « la république, il nous faut ce mot là. Et quand ce ne serait qu’un mot, c’est quelque chose puisque les peuples se lèvent quand il traverse l’air. » (Philipe Strozzi) ; « Qu’importe que la conscience soit vivante si le bras est mort. »
-Héros tragique : « Il faut que le monde sache un peu qui je suis, et qui il est. » (Orgueil démesuré) ; « Il faut que je sois un Brutus. »
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