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Poésie Corpus

Lettre type : Poésie Corpus. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Juin 2013  •  Lettre type  •  1 255 Mots (6 Pages)  •  788 Vues

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On nous demande d’étudier six poèmes qui ont tous le point communs du rapport au temps et des souvenirs au cours des siècles. En effet l’art de la poésie est une lutte pour ses poètes contre le temps qui passe. Nous allons donc comparer la manière la manière dont ces six poètes évoquent le thème du temps qui passe et ce que cela reflète des ces poètes.

Dans le premier texte François Villon évoque des figures de femmes célèbre pour leur beauté, leur violente passion ou encore qui on marqué un tournent dans la politique. Elle sont donc marqué les siècles jusqu'à aujourd’hui comme « Jehanne la bonne Lorraine ». Aujourd’hui toutes c’est femmes ne ceux que poussière, seulement des noms propres qui reste dans les mémoires. Il y a d'une part des personnages de l'antiquité dans la première strophe et des personnages du moyen âge dans la deuxième et troisième strophe. On peut en déduire que le poème suit l'ordre chronologique. La dernière femme citée est morte au buché en 1431. La dernière femme citée est morte au buché en 1431. Soit une trentaine d'années avant l'écriture du poème. Il y a donc une volonté de remonter aux origines mais tous en gardant un passé proche. Le passé proche est exprimé avec la reprise anaphorique de la question « mais ou sont les neiges d’antan ? » en effet les neige d’antant sont les neige dans l’an passé On fait donc référence à un temps qui n'est pas loin. Cette question apparait comme le refrain de cette ballade. Ce poème est alors une grande question sans réponse. En effet le premièr vers est intérogatif « dictes moy où, n’en quel pays » on le remarque aussi avec la répétions du « où ». Il évoque alors la fuite du temps en nous montrant que toutes ces femmes puissante non pas pu échapper à la mort. La poète reflète alors un homme avec une mélancolie profonde. Il exprime à travers son poème son angoisse face à la mort, au destin tragique de l’humain. Villon ne parle pas d’une perte personnelle et n’est pas très présent dans le texte avec une absence de pronoms personnels. Il met en valeur ces femmes, il fait alors de ce poème une sorte d’hommage.

Dans le Deuxième poème Du Bellay s’appuie sur son existence personnelle. Il parle d’un passé heureux qu’il regrette. Il exprime ça à travers des questions rhétorique ou il se demande ou est passé ses muses. L’utilisation de l’alternance passé présent montre sa nostalgie avec l’emploie de l’imparfait et le participe présent « maintenant ». Le premier mot de ce poème est l’interjection « las » qui donne toute suite le ton du poème : le regret. La fin du poème continue sur ce registre élégiaque avec des phrase à tournure négative « je n’ai plus ». Ici Du Bellay nous fait part d’une perte personnel, il est très présent tout le long du texte avec la présence du pronom personnel « je ». Il apparait alors en état de faiblesse et de tristesse comme si il n’avait plus rien et que personnes ne voudrais de lui car les muses s’enfuient. Il se questionne alors sur son sort.

Dans le troisème Poème, Ronsard exprime son rapport au temps avec son expérience personnel. En effet suite à la mort de son maître (le Roi). Il comprend alors qu’il a perdu son temps en convoitant la belle Hélène. Pour lui Hélène lui à fait négliger le secours qu’il aurait du avoir envers son maitre. On voit alors très nettement comment Ronsard traite la question du temps perdu. Pour lui l’expression « l’amour rend aveugle » est véridique. Il

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